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quand je n’étais qu’une masse informe ?

Quand Je N’étais Qu’une Masse Informe : Réflexion Spirituelle Profonde

Dans ce monde complexe où des questions d’identité, de destin et de la place que nous occupons dans l’univers sont souvent sources de doute, il est salutaire de se replonger dans des textes qui nous renouvellent l’esprit et l’espoir. Ce billet invite à une approfondie réflexion inspirée par un verset clé du Psaume 139.16 :

« Il y est écrit, ‘Quand je n’étais qu’une masse informe, tes yeux me voyaient; Et sur ton livre étaient tous inscrits Les jours qui m’étaient destinés, Avant qu’aucun d’eux existât.' »

Ce verset est non seulement une promesse du Saint Coran ou de la Bible, mais aussi un appel à la réflexion sur nos vies et notre destin. Lorsque nous pensons à nos vies en dehors de tout contexte religieux, il est difficile de ne pas chercher une logique, un sens à tout ce qui nous est arrivé et à tout ce qui nous attend. Le verset nous rappelle que, dès le plus primitif début de notre existence, notre dieu nous a vus, nous a comptés parmi Ses précieuses créations, et a scellé pour nous un avenir unique, qui était déjà gravé sur Ses tablettes.

Le verset parle d’un Dieu qui nous a vus même quand nous n’étions qu’un amas de cellules, que l’œil humain ne pouvait déchiffrer. Cette perspective atteste de la connaissance et de la vigilance divine envers chaque être humain, bien avant même que la vie ne commence à former un fil conducteur. Un rappel poétique de notre singularité et de l’importance intrinsèque de notre parcours.

Le verset n’évoque pas seulement le passé, avec la vision divine de notre masse embryonnaire; il évoque aussi le futur, y compris la totalité des jours qui nous seront donnés. Chaque moment qui s’écoulera, chaque jour qui s’annonce et même chaque moment de notre vie auquel nous n’avons jamais pensé – Dieu en avait déjà pris connaissance et avait tout calculé à l’avance.

Quand on s’immerge dans cette réflexion spirituelle, cela ne fait que nous donner une nouvelle profonde sens de la vie, de son importance et de la tendresse avec laquelle elle est écrite par un amour divin. Chaque instant perdu se redécouvre un sens et un avenir éternel, tout cela déterminé dans l’unité sacrée de notre destin.

C’est un sentiment grandiose de penser que, pendant que nous étions encore dans une forme d’inexistence, la vue divine nous voyait. Nous ne devons jamais oublier que nous sommes des créatures destinées à l’amour et à la bonté, chaque geste, chaque moment de notre vie ayant été inscrit dans un livre sacré.

C’est un appel à respecter le don de la vie, à défendre l’innocence face à ceux qui, malheureusement, dénient ce précieux don de naissance. La vie n’est pas un hasard ni un acte aléatoire, c’est un don de Dieu avec un plan, un plan qui est marqué et déterminé sur un livre sacré. Cela suscite en moi un respect profond non seulement pour ma propre vie, mais aussi pour celle de tous les autres êtres humains qui entourent mon existence et ma vie.

Après avoir réfléchi à ces lines, alors se pose la question : comment puis-je vivre ma vie d’une manière qui refléterait cet amour et cette attention ? En concluant, nous sommes invités à nous replonger dans ce verset pour trouver la volonté de vivre et d’aimer chaque moment de notre vie, parce que notre destin et notre place sont bien définis par ceux qui ont écrits les jours sur ce livre sacré.