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où sont des morts les phrases familières ?

## Où sont des morts les phrases familières ?

L’écrivain Christian Bada, dans son poème « Où sont des morts les phrases familières », nous plonge dans une réflexion profonde sur la disparition, le souvenir et l’impermanence de la vie. Une question simple semble en écho dans notre esprit: où sont partis les mots qui nous décrivaient ? Ils nous définissaient, nous caractérisaient, et maintenant, leur signification s’estompe, oubliée comme les visages de ceux qui nous ont quittés.

**La mort: un voyage vers l’inconnu**

Paul Valéry, dans son célèbre poème « Le Cimetière Marin », traite également le thème de la mort et de la disparition. L’auteur imagine des corps engloutis par la mer, tandis que les vagues effacent les histoires gravées sur les pierres tombales. La mer devient un symbole de l’immensité de l’inconnu, où même les plus grands souvenirs s’estompent.

« Où sont des morts les phrases familières » nous incite à réfléchir sur la façon dont nous perpétuons les souvenirs de ceux qui nous ont quittés. Les noms, les dates, les anecdotes, ne sont-ils que des vestiges fades face à l’immensité du temps ?

**L’impermanence de la vie, l’importance des liens**

Face à cette interrogation, la poésie nous offre des réponses poétiques.

Peut-être les phrases familières ne meurent-elles pas vraiment.

* Elles résonnent encore dans nos cœurs, murmurant les histoires vécues.
* Elles se transmettent à travers nos gestes, nos attitudes, nos paroles.
* Elles prennent vie dans les œuvres que nous créons, dans les messages que nous laissons derrière nous.

C’est peut-être là que réside l’importance des liens humains, des connexions qui nous unissent et qui permettent de porter la mémoire de ceux que l’on aime au-delà de la disparition physique.

**Osétagez votre histoire !**

Qu’en pensez-vous ? Où pensez-vous que les phrases familières des êtres disparus vivent-elles ?

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