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comment trouver sa colorimétrie ?

  • Listed: 8 septembre 2022 23 h 53 min

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Test de colorimétrie : comment trouver les couleurs qui nous vont
Colorimétrie: les 4 saisons de couleurs Pour trouver la palette qui vous convient le mieux, il faut avant tout analyser la couleur de votre peau, de vos yeux et de vos cheveux . Pour faire une analyse correcte, il est nécessaire d’être sans maquillage, non bronzée et avec la couleur de cheveux naturelle.

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Test de colorimétrie: comment trouver les couleurs qui nous vont …
Marie Claire vous aide en vous dévoilant quelques petites astuces pour trouver vos couleurs. On commence par déterminer à quelle saison on appartient. Chaque saison représente une palette de couleurs. Pour savoir si on est printemps, été, automne ou hiver, on détermine d’abord notre température en terme de couleurs.

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Colorimétrie : comment trouver la couleur qui vous va le mieux – Lafota
Comment définir sa colorimétrie ? Pour connaître sa saison, il est important de déterminer la température (froide ou chaude) à laquelle l’on appartient. Cela peut se faire à travers deux tests faciles à réaliser. Test « argent ou or » Pour réaliser ce test, il suffit de déterminer lequel de l’or ou de l’argent met le plus en valeur.

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Colorimétrie : trouver les couleurs qui me vont
Pour déterminer si vous êtes plutôt printemps, été, automne ou hiver, vous pouvez réaliser votre propre test de colorimétrie. Pour que le test soit efficace, vous devez mettre vos propres goûts de côté le temps du test. Il ne s’agit pas de se demander quelles couleurs vous préférez, mais bien de déterminer quel type de couleur vous fait rayonner.

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Votre Colorimétrie : trouver les bonnes couleurs parmi 12 saisons ! 1/3
Comment déterminer sa colorimétrie ? Ensuite, il s’agit de déterminer votre caractéristique principale, puis votre caractéristique secondaire, que l’on va venir additionner pour trouver votre saison : votre caractère principal + votre caractère secondaire = votre saison.

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La colorimétrie : comment trouver les couleurs qui vous vont?
Autre indice pour connaître votre colorimétrie, regardez la couleur de vos yeux ! Les yeux aux notes de marrons ou de verts révèlent généralement une appartenance aux saisons chaudes (printemps et automne) tandis que des notes noires ou grises ont plus de chances d’être d’été ou d’hiver (les saisons froides donc). Quelle saison exactement ?

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Colorimétrie : Quelles Couleurs me Vont le Mieux – Les Petits Imprimés
Test de colorimétrie en ligne en 2 étapes faciles 1. Mesurez votre température. Rassurez-vous, on parle toujours de colorimétrie ! Cette première phase du test de colorimétrie détermine l’effet visuel des couleurs chaudes et des couleurs froides près de votre visage. Commencez par deux tissus brillants, un doré et un argenté. Si vous n’êtes pas très bling-bling, préférez un orange vif et un fushia intense.



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TOPLOOK RELOOKING PERSO : Votre test colorimétrique
Test de colorimétrie – étape n°1 Il s’agit de voir si votre teint est plutôt clair ou plutôt mat. 1- Mettez-vous à la lumière du jour. 2- Observez attentivement votre couleur de teint (visage démaquillé). 3- Comparez-la aux 2 groupes A et B d’échantillons proposés ci-contre. Résultat du test 1

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Test de Colorimétrie : Quelles Couleurs me Vont le Mieux au Teint
Recouvrez votre buste d’une blouse blanche, d’un vêtement blanc (et pas blanc cassé) Ajoutez un bandeau blanc sur le haut de votre front. Démaquillez entièrement votre visage et vos yeux. Enlevez tous les bijoux (boucles d’oreilles, piercings et même les bagues). Vous voilà prête à démarrer votre test de colorimétrie.

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comment faire test de colorimetrie rapide soi-meme – QUOTIDIEN FEMININ
Procurez-vous deux grands carrés de tissu, un doré et un argenté. Commencez par mettre un des deux tissus autour de votre cou, légèrement attaché aux extrémités pour éviter que ça tombe. Ajoutez ensuite par-dessus le deuxième tissu et observez quel est l’effet de ce deuxième tissu sur votre visage.

Pour les articles homonymes, voir Saturation.
Dégradé de rouge : saturation croissante vers le haut.
En colorimétrie, la pureté d’excitation, la pureté colorimétrique, la chromaticité ou chroma et la saturation sont des évaluations numériques de ce qui distingue une teinte d’un gris qui serait aussi lumineux.
Pour les luminosités moyennes à élevées, ces mesures correspondent à la vivacité ; une couleur hautement saturée est vive et intense tandis qu’une autre moins saturée paraît plus terne et grise. Une saturation élevée avec une faible luminosité correspond à une couleur profonde. Avec la saturation très faible, une couleur est un blanc, un gris ou un noir.
La pureté s’emploie en colorimétrie de base. Toute couleur peut s’analyser en l’addition ou en la soustraction d’une lumière monochromatique à de la lumière blanche. La pureté est le rapport de la quantité de lumière monochromatique au total. Des couleurs sombres peuvent avoir une pureté élevée. Le diagramme de chromaticité montre la disposition des teintes indépendamment de la luminance ; cette chromaticité est un doublet (x, y).
La chromaticité ou chroma est l’intensité de la coloration dans les espaces chromatiques conçus pour que l’écart entre les points représentatifs des couleurs corresponde à l’écart perçu entre les couleurs. La chromaticité est la distance du point représentatif d’une couleur à celui de l’illuminant à la même luminosité. Dans l’espace CIE L*u*v*, la saturation est définie comme le rapport du chroma à la clarté.
La saturation s’emploie dans les systèmes de synthèse des couleurs. Ces systèmes utilisent généralement trois couleurs primaires, dont les caractéristiques limitent le domaine des couleurs qu’ils peuvent reproduire. La saturation exprime alors l’intensité de la coloration par rapport au maximum possible dans le système. La saturation est l’une des coordonnées dans les systèmes de description de couleurs informatiques Teinte Saturation Luminosité (TSL).
Terminologie[|]
La colorimétrie se donne pour objectif de faire correspondre les termes descriptifs du langage avec des mesures physiques. En colorimétrie, on estime qu’on ne peut obtenir une couleur plus colorée qu’une lumière monochromatique, qu’on dit aussi couleur pure. La pureté situe la coloration entre cette lumière et la lumière blanche, achromatique (sans couleur).
Le terme saturation se réfère en général aux situations où, quoi qu’on fasse, on ne peut obtenir d’un système plus que ce qu’il fournit déjà.
En 1948, la Commission internationale de l’éclairage jugeait utile de différencier les termes des mesures des sciences de la couleur, entre la physique, indifférente aux perceptions, la colorimétrie, pondérant ces mesures avec des coefficients représentant la perception humaine, et la psychologie, basée sur l’évaluation humaine d’échantillons, sans référence à des mesures physiques. Dans cet ensemble, la radiance (grandeur physique) trouve son équivalent dans la luminance (grandeur photométrique et colorimétrique) et dans la clarté (classement psychologique) ; la chromaticité, ensemble de deux valeurs colorimétriques comprenant longueur d’onde dominante et pureté, a comme équivalent psychologique la chromie, terme proposé à cette époque et qui n’a pas eu de succès, comprenant la tonalité (plus souvent dite teinte de nos jours) et la saturation1.
Dans le contexte du codage informatique des couleurs, la précision des définitions est moins nécessaire. La simplicité des calculs est souvent plus importante que l’exactitude visuelle de la production des couleurs. La couleur résultant d’un code dépend en tout état de cause de la technologie des écrans ou imprimantes et de leur réglage.
Le terme saturation s’utilise donc dans ce contexte de façon assez appropriée, puisque d’une part, la grandeur en question s’y rapporte au maximum de pureté colorimétrique permise par le système, et d’autre part, il s’agit principalement de donner une indication sur la perception de la couleur produite.
Colorimétrie[|]
Pureté[|]
Article détaillé : Pureté d’excitation.
On observe que pour toute lumière, on peut trouver une lumière monochromatique et une lumière blanche qui, mélangées, forment une lumière qui ne peut se distinguer de celle d’origine.
On dit que leurs couleurs sont métamères.
On considère qu’une lumière monochromatique a une couleur pure. Les autres sont plus ou moins lavées de blanc.
La longueur d’onde de la lumière monochromatique est la longueur d’onde dominante.
La colorimétrie se fonde sur la loi d’Abney, qui postule la linéarité des relations entre grandeurs physiques et perceptions colorées. De ce fait, le mélange lumineux peut être caractérisé par addition de la grandeur utilisée pour la mesure (quelle qu’elle puisse être : luminance, flux lumineux, etc.)2.
Pureté colorimétrique[|]
Pour une lumière donnée, on trouve une lumière métamère composée d’une lumière monochromatique de luminance visuelle Lλ et d’une lumière blanche de luminance visuelle Lb. On appelle pureté colorimétrique, et on note pc, le rapport3,4
Chromaticité[|]
Grâce au postulat de linéarité, et en considérant que la coloration est une grandeur indépendante de la luminosité, on peut représenter les couleurs, sans se soucier de leur luminosité, sur un diagramme de chromaticité. Ce type de diagramme place la coloration dans une surface limitée par la courbe des lumières monochromatiques et la droite des pourpres.
Les espaces de couleur CIE dérivent de l’évaluation d’une couleur par le mélange des primaires de mesure. Chaque rayonnement visible à une couleur métamère, qu’un triplet (rouge, vert, bleu) définit. Les valeurs du rouge sont négatives dans le cas où pour trouver une couleur métamère, on doit ajouter au rayonnement en essai une certaine quantité de rouge primaire. L’espace CIE XYZ 1931 applique une matrice de transformation linéaire au triplet (rouge, vert, bleu) de sorte qu’aucune valeur ne soit négative et que la valeur Y soit la luminance. Les valeurs X et Z dépendent donc uniquement de la coloration. Pour les disposer commodément sur un diagramme plan, on les divise par la somme (X+Y+Z). Le résultat est la chromaticité, qui est le couple (x, y) du diagramme de l’espace CIE xy.
Les valeurs de chromaticité n’indiquent pas avec évidence la couleur. L’illuminant D65 correspond à {x:0,31271, y:0,32902}.
Pureté d’excitation[|]
Pureté d’excitation sur le diagramme de chromaticité.
On montre facilement que la couleur métamère correspondant au mélange de deux lumières se trouve, dans le diagramme, sur la droite entre les deux points correspondant à ces lumières. Par conséquent, le point correspondant à une lumière se trouve sur la ligne entre le point de blanc, déterminé par la position de l’illuminant (conventionnel) et le point de la courbe extérieure correspondant à sa longueur d’onde dominante.
La pureté d’excitation est le rapport entre la distance du point blanc à celui représentant la couleur et la distance du point blanc au point de la courbe extérieure correspondant à sa longueur d’onde dominante.
Connaissant les coordonnées chromatiques (xb,yb) du blanc, les coordonnées chromatiques (xλ,yλ) de la couleur pure et les coordonnées (x,y) de la couleur étudiée dans le diagramme de chromaticité CIE 19315, la pureté d’excitation pe s’exprime
ou
.
Lorsque le segment du blanc à la couleur se prolonge vers la droite des pourpres, la longueur d’onde dominante est négative, elle s’obtient sur la ligne des lumières monochromatiques à l’opposé. La pureté colorimétrique est alors le rapport des distances entre le blanc et la couleur et entre le blanc et la ligne des pourpres6.
La pureté d’excitation et la pureté colorimétriques sont liées par la relation5 :
.
Chroma et saturation[|]
Les modèles linéaires de la colorimétrie de base offrent l’avantage de la simplicité, mais ils ont l’inconvénient de ne pas correspondre à la perception des couleurs. En particulier, la distance entre deux points dans l’espace des couleurs n’a pas de rapport avec la différence perçue entre leurs tons. Pour réduire cet inconvénient, la CIE a créé les espaces CIELUV, pour les lumières, et CIELAB, pour les surfaces colorées. Mais pour approcher la perception, et obtenir une distance homogène pour tous les seuils de différence de couleur, ces modèles ont abandonné la linéarité du modèle initial : ils se fondent sur la clarté ou luminosité. Les couleurs de même luminosité se définissent par leurs coordonnées u* (axe rouge–vert) et v* (axe bleu–jaune) ou a* et b*, selon le système. On peut facilement transformer ces coordonnées cartésiennes en coordonnées polaires, obtenant un module, la chroma, et un angle de teinte qui caractérisent la chromaticité7. La chroma, c’est-à-dire l’écart entre la couleur et l’axe des gris, varie alors avec la luminosité et avec la teinte. Il partage ainsi des traits avec la notion commune de vivacité des couleurs. Les couleurs sombres sont moins « colorées », moins « vives », que les couleurs claires.
La saturation, dans l’espace CIELUV, est le quotient de la chromaticité par la clarté8
. Il n’existe pas de grandeur similaire pour le système CIELAB.
Effet sur la perception[|]
La colorimétrie postule la linéarité des perceptions et l’indépendance de leurs composantes, luminosité, teinte, saturation, mais celle-ci influe sur les deux autres par des effets qu’on doit négliger pour établir la colorimétrie de base.
L’effet Abney constate que la teinte varie lorsqu’on ajoute du blanc à la lumière monochromatique, diminuant la saturation. Cet effet varie selon la teinte. Il se traduit par le fait que les lignes d’égale teintes sont courbes sur le diagramme de chromaticité.
Le phénomène Helmholtz–Kohlrausch indique qu’à luminance égale, la luminosité perçue d’une lumière colorée augmente avec la saturation.
Codage informatique des couleurs[|]
Les systèmes de description des couleurs informatiques, comme Teinte–Saturation–Lumière, décrivent la couleur par les proportions de couleurs primaires de l’écran ou de l’imprimante. La nuance obtenue varie selon la technologie de fabrication de ceux-ci, qui détermine la position des primaires dans le diagramme de chromaticité et ainsi les limites du gamut. La saturation est, dans ce cas, une valeur relative au maximum qu’on puisse obtenir avec le gamut du système. Elle est égale à 1 quand une des composantes primaires est à zéro ; elle égale à zéro quand les trois composantes sont égales, et en général égale au quotient de la différence entre composantes la plus forte et la plus faible, par la composante la plus faible. Souvent, on code la valeur de 0 à 1 en pourcentage ou de 0 à 255 (sous-entendu, deux-cent-cinquante-cinquièmes) pour un codage sur 8 bits.
Les systèmes de transmission vidéo transmettent, dans la plupart des cas, un signal de luminance, et un signal de chrominance qui indique la différence de la couleur avec le gris. La phase du signal de chrominance exprime la teinte, et son amplitude la saturation brute.
Dans le cas de l’informatique, comme dans celui du signal vidéo, la pureté colorimétrique de la couleur obtenue ne peut se déterminer simplement à partir de la valeur de la saturation. La pureté d’exitaion est comprise entre 0 quand la saturation est nulle, et une valeur maximale variable selon la longueur d’onde, quand la saturation est de 100 %. Entre les deux, les ajustements de contraste, de niveau de noir et de correction gamma de l’écran déterminent la courbe de correspondance entre saturation et pureté colorimétrique.
Usages de la saturation[|]
Arts plastiques[|]
La peinture pose des matières colorées sur un support, dont le blanc fixe la plus grande luminosité possible, les couches absorbant de la lumière. Plus la couche renvoie une portion étroite du spectre lumineux, plus la couleur est pure, mais aussi plus elle est sombre. Les couleurs qu’on dit vives sont claires et colorées, elles sont par nécessité moins pures qu’une couleur profonde de même teinte. Les qualités d’une couleur vue sont liées à la fois à sa clarté et à sa pureté. Les termes du langage d’atelier se rattachent en général plus directement aux « couleurs » que sont les pâtes colorées. Les couleurs franches s’opposent à celles qui sont lavées ou dégradées par mélange avec du blanc ou rompues ou rabattues par mélange avec du noir et du blanc ou une autre couleur9 ; les terres et les autres pigments dont on pourrait imiter la couleur par mélange d’autres pigment avec du blanc ou du noir ne sont pas des couleurs franches.
Au xxe siècle, l’enseignement de la couleur pour les arts plastiques utilise parfois le concept de saturation, au même titre que la luminosité et la teinte. Joseph Albers, artiste et enseignant10, a intitulé Saturation certains de ses Hommages au carré11. Il est pourtant très difficile de définir la saturation, sinon par métonymie : « plus une couleur rappelle la qualité claire et pleine de celle que renvoie un prisme, plus on dit qu’elle est saturée. En pratique, il peut être difficile d’identifier la saturation12. », dont « le rapport avec la luminosité n’est pas mesurable, parce qu’elle est de nature psychologique13. »
L’impression en quadrichromie donne une couleur qu’on peut dire « saturée » pour ce système lorsque le canal noir et au moins un des trois autres sont nuls, et le ou les canaux restants sont au maximum. La « saturation » peut aussi désigner la quantité maximale d’encre que le papier peut recevoir sans taches ni report sur les feuilles voisines.
Le système CIE L*a*b* définit la chromaticité plus rigoureusement. Pour une luminosité et une teinte données, le module de l’écart au gris mesure la coloration, tandis qu’une couleur optimale, matière idéale qui transmettrait complètement une portion continue du spectre, et rien d’autre, donne la limite supérieure de cette coloration. On pourrait utiliser ces relations pour définir une saturation. Mais les effets de la couleur dans les arts graphiques sont bien plus complexes que la réaction aux stimulus de la colorimétrie, et les praticiens se dispensent le plus souvent de cette rigueur.
Associations de la saturation des couleurs[|]
Les études de marketing et de publicité évaluent à quels sentiments les couleurs saturées s’attachent, de façon à adapter le style visuel de leurs annonces à un produit et un public. Certains chercheurs ont conclu que la luminosité et la saturation ont plus d’influence que le choix des teintes.
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Modification de la saturation globale[|]
Différents niveaux de saturation d’une image.
Les logiciels d’édition graphique, comme les systèmes de contrôle de signal vidéo, permettent généralement de manipuler le niveau de saturation de l’ensemble d’une image.
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Voir aussi[|]
Bibliographie[|]
Maurice Déribéré, La couleur, Paris, PUF, coll. « Que Sais-Je » (no 220), 2014, 2e éd. (1re éd. 1964), p. 105.
Yves Le Grand, Optique physiologique : Tome 2, Lumière et couleurs, Paris, Masson, 1972, 2e éd. (voir l’index).
Robert Sève, Science de la couleur : Aspects physiques et perceptifs, Marseille, Chalagam, 2009 (voir l’index).
Articles connexes[|]
Colorimétrie
Couleur métamère
Psychophysique
Teinte Saturation Valeur
Liens externes[|]
Site de la CIE [] (Commission internationale de l’éclairage)
Notes et références[|]
↑ Gustave Durup, « Progrès conjoints des idées et du langage dans les sciences de la couleur », L’année psychologique, vol. 47-48, 1949, p. 213-229 (lire en ligne []). Ce volume est daté 1946, mais l’auteur mentionne les réunions de 1948, et apporte en 1952 des précisions à cet article « publié il y a trois ans » ; voir aussi Déribéré 2014, p. 11-12.
↑ Sève 2009, p. 84-87 ; Le Grand 1972, p. 84-87.
↑ CIE 015:2004 Colorimetry, 3th Edition, (lire en ligne []).
↑ Déribéré 2014, p. 105 ; Le Grand 1972, p. 116 ; Sève 2009, p. 88-89.

a et b CIE 015:2004 Colorimetry, 3th Edition, (lire en ligne []).
↑ Le Grand 1972, p. 116-117.
↑ Sève 2009, p. 143.
↑ Sève 2009, p. 144
↑ André Béguin, Dictionnaire technique de la peinture, 2009 (1re éd. 1990), p. 197-198 « Couleur ».
↑ Josef Albers (trad. Claude Gilbert), L’interaction des couleurs, Hazan, 2013 (1re éd. 1963).
↑ « Josef Albers – Hommage au Carré, saturation » [], sur Musée des beaux-arts de Montréal (consulté le 24 mai 2021).
↑ David Hornung (trad. Brigitte Quentin), La couleur : Cours pratique [« Colour: A Workshop for Artists and Designers sur Google Livres »], Paris, Eyrolles, 2017 (1re éd. 2005), p. 20 sq..
↑ Hornung 20017, p. 28.
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