how long to try something before giving up ?
- State: Utah
- Country: United States
- Listed: 7 March 2024 0h19
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Description
how long to try something before giving up ?
**Combien de temps faut-il tenter une chose avant d’abandonner ?**
Vous avez-vous déjà senti coincé face à une situation, après avoir tout essayé sans résultat, et vous vous demander si l’abandon est la meilleure option ? C’est une question qui traverse chacun de nous : comment faire la différence entre persévérer malgré l’échec et reconnaître qu’il est temps de lâcher prise ? Combien de temps doit-on s’accorder pour ne pas abandonner trop tôt, tout en évitant de se perdre dans un combat perdu d’avance ?
Dans cet article, nous allons explorer les subtilités de cette balance entre la persévérance et l’abandon, en intégrant des conseils scientifiques, des témoignages d’experts et des stratégies pratiques pour vous aider à prendre des décisions éclairées.
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### **La psychologie derrière l’abandon : pourquoi on cesse de lutter**
La décision d’abandonner n’est jamais anodine. En psychologie, elle est souvent liée à des facteurs tels que l’absence de progrès perçu, la perte de confiance en soi, ou un sentiment d’immobilisme chronique. Lorsque nos efforts ne portent pas fruit, le cerveau interprète cela comme un signal de danger, activant des émotions comme la frustration, l’anxiété, voire la dépression.
Cependant, l’abandon prématuré peut être aussi nuisible que la persévérance maladroite. Les recherches de la Harvard Business Review soulignent que l’échec à gérer cette tension peut mener à deux périls : soit un épuisement mental lié à une lutte inutile, soit un abandon hâtif qui renforce l’imposture et l’insécurité.
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### **Comment revoir son état d’esprit pour trouver l’équilibre ?**
Pour ne pas tomber dans le travers de persister mécaniquement ou de céder aux premières difficultés, un ajustement mental s’impose. Voici quelques stratégies :
1. **Foco sur les bénéfices, pas les pertes** : Plutôt que de se demander « qu’est-ce que je perdrais si je m’arrête ? », demandez-vous : « Quels seraient les avantages de continuer, et quels sont les enseignements possibles, même s’il n’y a pas de succès absolu ?». Cette réorientation permet de cultiver une motivation plus solide.
2. **Définir des « jalons » réalistes** : Fixez des objectifs intermédiaires mesurables. Ces micro-réussites renforcent la confiance et réduisent le risque d’abandon brutal.
3. **Reconnaître les limites d’intégrité** : Un expert en psychologie comme Kelly McGonigal insiste sur le fait que **la persévérance ne se confond pas avec l’obstination**. Si une ténacité constante nuit à votre bien-être, c’est un signe à prendre au sérieux.
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### **12 lignes directrices pour décider de continuer ou d’arrêter**
Dans un article culte du *Harvard Business Review*, Jeff Dyer propose des repères clairs pour prendre des décisions en toute lucidité :
1. **Évaluez ce qui est sous votre contrôle** : Focalisez-vous sur les variables que vous pouvez modifier.
2. **Adaptez votre plan avec flexibilité** : Soyez prêt à ajuster votre stratégie, non pas pour capituler, mais pour l’optimiser.
3. **Évitez le piège des émotions** : Détachez-vous des jugements émotionnels et basez vos choix sur des données concrettes.
4. **Mesurez l’impact du temps** : Combien de mois ou d’années êtes-vous prêt à investir sans résultats visibles ? Fixer un délai permet de garder le cap.
5. **Analysez le coût de l’abandon** : Évaluez si l’abandon précoce aurait des conséquences financières, émotionnelles ou sociales majeures.
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### **Les avis des experts : quand il est acceptable de tout laisser tomber**
Les spécialistes ne s’accordent pas toujours sur un seuil universel. Cependant, certains constats s’accordent :
– **Dr. Kelly McGonigal** (auteur de *L’instinct de la voluntary*) conseille de **ne pas céder à la résignation**, mais de chercher des petits succès pour renforcer la résilience mentale.
– **Dr. Dan Ariely** (psychologue économique) propose un **cap résonant** : *« Si des mois d’efforts ne donnent aucun résultat, il est raisonnable de dire : ‘C’est trop coûteux, je dois m’en aller.’ La vie est trop courte pour gaspiller des ressources inutilement. »*
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### **Comment savoir quand cesser de lutter ? Une conclusion réfléchie**
L’art de décider quand persévérer ou abandonner réside dans une capacité à **intégrer l’objectif, les émotions, la logique et la perspicacité critique**. Il ne s’agit pas de donner un chiffre exact (100 jours, six mois, trois ans), mais de cultiver une **intelligence émotionnelle** qui évalue en temps réel le rapport entre investissement et retour.
Pensez à ces questions cruciales avant de faire un choix :
– Quels sont mes critères pour définir une réussite, même partielle ?
– Quel est l’impact émotionnel ou matériel d’un abandon ?
– Existe-t-il des alternatives créatives qui m’évitent de tout stopper brutalement ?
En dernier ressort, il n’est pas un péché d’abandonner, pourvu qu’on l’ait fait après avoir tenté une approche réfléchie. Comme le souligne l’adage japonais *« L’arbre ne doit pas tenir debout par force, mais par sagesse »*, la détermination n’exige pas d’insoutenables sacrifices — mais une clairvoyance lucide.
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### **Ressources pratiques pour vous guider**
– *Comment savoir quand abandonner ?* (Harvard Business Review)
– *Quand persévérer et quand lâcher prise ?* (Talkspace)
– *12 réflexes pour éviter de devenir un « têtu incurable »* (The Upside of Irrationality – Dan Ariely).
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**Et vous, combien de temps attendez-vous avant d’abandonner ? Partagez vos expériences ou vos questions dans les commentaires !**
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