quoi est mort jean-louis trintignant ?
- Listed: 1 septembre 2022 15 h 35 min
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Mort de Jean-Louis Trintignant : de quoi souffrait-il – Femme Actuelle
Acteur chéri du public français, Jean-Louis Trintignant est mort vendredi 17 juin 2022, comme l’a annoncé sa famille à l’AFP. Il était atteint d’un cancer et ne tournait plus depuis 2018. Rare dans…https://www.purepeople.com › article › de-quoi-est-mort-jean-louis-trintignant-sa-famille-apporte-des-precisions_a493104 › 1https://www.purepeople.com › article › de-quoi-est-mort-jean-louis-trintignant-sa-famille-apporte-des-precisions_a493104 › 1
De quoi est mort Jean-Louis Trintignant ? Sa famille apporte des …
Triste nouvelle pour le monde du cinéma ce vendredi 17 juin 2022 : le comédien Jean-Louis Trintignant est mort. Son décès a été relaté par sa famille dans un communiqué transmis à l’AFP. Depuis…https://www.msn.com › fr-fr › divertissement › celebrites › mort-de-jean-louis-trintignant-de-quoi-souffrait-il › ar-AAYAGsshttps://www.msn.com › fr-fr › divertissement › celebrites › mort-de-jean-louis-trintignant-de-quoi-souffrait-il › ar-AAYAGss
Mort de Jean-Louis Trintignant : de quoi souffrait-il – MSN
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Jean-Louis Trintignant, l’acteur qui voulait rester clandestin, est mort
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De quoi est mort Jean-Louis Trintignant ? Sa famille apporte … – Yahoo!
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Jean-Louis Trintignant, acteur prolifique : Le plus grand sujet …
L’acteur et comédien Jean-Louis Trintignant est décédé ce vendredi à 91 ans. En 2017, il avait annoncé être atteint d’un cancer de la prostate. Celui qui a hésité à devenir réalisateur ou même photographe s’est fait connaître dans les années 1950. Retour sur sa carrière marquée par 130 films.https://republiquedujapap.com › 2022 › 06 › 17 › de-quoi-est-mort-jean-louis-trintignant-sa-famille-apporte-des-precisionshttps://republiquedujapap.com › 2022 › 06 › 17 › de-quoi-est-mort-jean-louis-trintignant-sa-famille-apporte-des-precisions
De quoi est mort Jean-Louis Trintignant ? Sa famille apporte des …
Son décès a été relaté par sa famille dans un communiqué transmis à l’AFP. Depuis quelques années, il avait plusieurs pépins de santé. Son clan a toutefois dévoilé de quoi il est mort. Un monument du cinéma s’en est allé. Jean-Louis Trintignant est décédé ce vendredi 17 juin 2022, à 91 ans, a annoncé sa famille à l’AFP.https://www.closermag.fr › people › jean-louis-trintignant-de-quoi-etait-morte-sa-fille-pauline-1596064https://www.closermag.fr › people › jean-louis-trintignant-de-quoi-etait-morte-sa-fille-pauline-1596064
Jean-Louis Trintignant : de quoi était morte sa fille Pauline
Jean-Louis Trintignant est mort le vendredi 17 juin 2022, à l’âge de 91 ans. L’acteur de cinéma français qui était père de trois enfants, avait perdu ses deux filles dans de tragiques circonstances.https://www.femmeactuelle.fr › actu › news-actu › jean-louis-trintignant-qui-sont-ses-3-enfants-2136528https://www.femmeactuelle.fr › actu › news-actu › jean-louis-trintignant-qui-sont-ses-3-enfants-2136528
Jean-Louis Trintignant : qui sont ses 3 enfants, dont 2 sont morts …
Il est mort paisiblement, de vieillesse, a-t-elle également souligné. Pour rappel, Jean-Louis Trintignant avait annoncé en 2017 qu’il était atteint d’un cancer, mais qu’il refusait tous les…https://www.programme-tv.net › news › cinema › 303973-jean-louis-trintignant-la-mort-de-ses-filles-marie-et-pauline-ses-deuils-impossibleshttps://www.programme-tv.net › news › cinema › 303973-jean-louis-trintignant-la-mort-de-ses-filles-marie-et-pauline-ses-deuils-impossibles
Jean-Louis Trintignant : la mort de ses filles Marie et Pauline… Ses …
Mais aussi marquée par deux drames impossibles. Ce vendredi, nous apprenions avec tristesse la disparition de Jean-Louis Trintignant, à l’âge de 91 ans. C’est la famille de l’acteur qui l’a annoncé…Jean-Claude Brialy
Jean-Claude Brialy en 1992.
Données clés
Nom de naissance Jean-Claude Marcel Brialy
Naissance 30 mars 1933
Aumale (Algérie)
Nationalité Française
Décès 30 mai 2007 (à 74 ans)
Monthyon (France)
Profession Acteur
Réalisateur
Scénariste
Films notables Le Beau Serge
Les Cousins
La mariée était en noir
Une femme est une femme
Le Genou de Claire
L’Effrontée
Les innocents
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Jean-Claude Brialy est un acteur, réalisateur, scénariste et écrivain français né le 30 mars 1933 à Aumale en Algérie et mort le 30 mai 2007 à Monthyon (Seine-et-Marne).
Issu de la Nouvelle Vague du cinéma français, il a joué dans plus de deux cents films au cours d’une carrière commencée en 1956 et a côtoyé de grands réalisateurs tels que Louis Malle, Claude Chabrol, François Truffaut ou Éric Rohmer mais aussi Philippe de Broca. Vedette (Le Beau Serge) ou second rôle, il a été nommé pour le César du meilleur acteur dans un second rôle avec Le Juge et l’Assassin en 1977 et l’a remporté avec Les Innocents en 1988.
Biographie[|]
Né à Aumale en Algérie, Jean-Claude Brialy est le fils de Roger Jean Brialy, officier français (lieutenant au 65e d’artillerie), qu’il suit dans ses multiples affectations pendant son enfance, et de Suzanne Abraham. Il passe ainsi par Blida en Algérie, puis Bône (actuellement Annaba) et, en 1943, Marseille1. La famille Brialy s’installe ensuite à Angers. Jean-Claude et son frère cadet de deux ans Jacques2 vont à l’école au lycée David-d’Angers (où il connaît son « premier émoi de comédien » dit-il dans son autobiographie) et les vacances se déroulent chez leurs grands-parents à Chambellay ou bien à Issoire3, dans le Puy-de-Dôme, chez ses grands-parents maternels. Il écrit en 2000 dans son autobiographie que c’est dans ce village qu’il vit les plus beaux moments de son enfance marquée par un manque d’amour, élevé à la cravache par des parents qui entretiennent une rivalité avec son frère.
Une formation de comédien[|]
En 1946, Jean-Claude Brialy fait son entrée au Prytanée national militaire de La Flèche dans la Sarthe, avant de déménager de nouveau à Saint-Étienne, et finalement passer son baccalauréat au collège épiscopal Saint-Étienne de Strasbourg, où il suit en parallèle des cours d’art dramatique, sa passion, contre l’avis de son père colonel qui le destine à une carrière militaire4.
Il obtient le premier prix de comédie au conservatoire de Strasbourg et entre alors au centre d’art dramatique de l’Est, où il interprète différents rôles de théâtre. Pendant son service militaire à Baden-Baden, il est affecté au service cinématographique de l’armée en Allemagne, l’occasion pour lui de tourner en 1954 son premier court-métrage, Chiffonard, et Bon Aloi. À la fin de son service militaire, il part en novembre 1954 à Paris seul car ses parents ne cautionnent pas ses velléités de saltimbanque4.
Du cinéma à la télévision, et le château de Monthyon[|]
Le château de Monthyon.
En 1954, Jean-Claude Brialy débarque à Paris, vit de petits boulots, ses parents refusant de l’aider. Il fréquente alors la bande des Cahiers du cinéma et joue dans un court-métrage Le Coup du berger de Jacques Rivette. Après avoir été stagiaire assistant-réalisateur sur French Cancan de Jean Renoir en 1954, il va alors multiplier apparitions et rôles, dont Elena et les Hommes de Jean Renoir en 1956 (source d’une grande déception car la scène est coupée au montage alors qu’il voulait impressionner sa famille), Ascenseur pour l’échafaud de Louis Malle en 1957 et surtout Le Beau Serge et Les Cousins de Claude Chabrol, qui lui apportent la célébrité4.
En 1959, il achète grâce à l’aide financière de Claude Chabrol et de François Truffaut le château de Monthyon, près de Meaux, que lui a fait connaître Marie-José Nat5. Il y passe plusieurs mois de convalescence après une lourde opération chirurgicale à la suite d’une mauvaise chute dans Le Beau Serge. Reconnu à la fois par le public et par ses pairs, Brialy est vite devenu l’ami de nombreux artistes. C’est chez-lui à Monthyon que Romy Schneider (son amie depuis 1958) se ressourcera après la mort accidentelle de son fils en 1981 et que Jacques Chazot, atteint d’un cancer de la gorge, passera les derniers mois de sa vie, avant d’être enterré en 1993 dans le cimetière de la commune6. Jean-Claude Brialy achète aussi, en 1966, un ancien bistrot de l’île Saint-Louis à Paris, qu’il fait transformer en restaurant sous l’enseigne L’Orangerie. Ce lieu de vie nocturne verra défiler en toute discrétion un grand nombre d’artistes français et étrangers6.
Ce château c’est la vie de Jean-Claude Brialy qui y a vécu quarante huit ans, à la campagne comme il disait, lui qui n’aimait pas la campagne. Il l’avait choisi pour son emplacement, face à la mairie, l’église et l’école, de manière à faire comme son grand-père paternel : regarder l’horloge de l’église et entendre les cloches. En effet, son grand-père avait acheté en 1937 une horloge à l’Exposition Universelle qui ne fonctionna jamais. Sans cesse son grand-père regardait l’horloge de l’église. Cette habitude ne le quitta jamais.
Le petit théâtre comme l’appelait Jean-Claude était réservé aux projections privées avec les amis. Au premier étage, on trouve les anciens sièges du théâtre des Bouffes-Parisiens.
Il devient un acteur prisé des réalisateurs de la Nouvelle Vague, jouant pour Jean-Luc Godard dans Une femme est une femme, pour Éric Rohmer dans Le Genou de Claire et pour François Truffaut dans La Mariée était en noir. Il est très proche de François Truffaut ; en 1968 ce dernier demande à Marcel Berbert et à Jean-Claude Brialy d’être les témoins de son mariage avec Claude Jade ; mariage qui ne se fera pas. Grand travailleur, il tourne plusieurs films par an, jouant également au théâtre. Il manquera aussi de travailler avec Claude Sautet au cinéma, mais finalement, avec le temps, aucun projet ne se concrétisera avec ce réalisateur.
Il passe à la réalisation avec son premier film en 1971, Églantine, qu’il tourne à Chambellay, un village d’Anjou d’où sont natifs ses grands-parents, puis en 1973 Volets clos. Il tourne L’Oiseau rare en 1973, avec Anny Duperey et Barbara, au château de Lesches, en Seine-et-Marne, non loin de son château de Monthyon. En juillet 1979, il réalise pour la télévision, Les Malheurs de Sophie, tourné au château de Lorie à La Chapelle-sur-Oudon, près de Segré.
Le théâtre et l’écriture[|]
Jean-Claude Brialy au festival de Cannes 1992.
Directeur du théâtre Hébertot (1977) puis du théâtre des Bouffes-Parisiens (de 1986 à sa mort, la direction étant alors reprise par son compagnon Bruno Finck4), Jean-Claude Brialy est longtemps directeur artistique du festival d’Anjou (1985-2001) ainsi que le créateur et directeur artistique du festival de Ramatuelle à partir de 1985.
En 2000 et 2004, il écrit deux livres autobiographiques qui rencontrent un réel succès de librairie: Le Ruisseau des singes (éd. Robert Laffont), où il évoque plus particulièrement les bons moments de son enfance passés à Chambellay près d’Angers (« Mon paradis, c’est l’Anjou ») et J’ai oublié de vous dire (XO éditions). En 2006, à la suite de son voyage dans son pays natal, il publie Mon Algérie (Timée éditions). Il écrit aussi des anthologies: Les Pensées les plus drôles des acteurs et Les Répliques les plus drôles du théâtre de boulevard (Le Cherche-Midi).
Personnalité du « tout-Paris », il intervient parallèlement dans de nombreuses émissions de radio et de télévision, comme Les Grosses Têtes de Philippe Bouvard sur RTL. Il participe régulièrement à l’émission.
On retrouvera également Jean-Claude Brialy régulièrement, à l’émission télévisée de variétés Numéro Un, de Maritie, et Gilbert Carpentier, entre 1975 et 1982, ou souvent, il accompagnera avec humour les artistes.
Sa proximité avec les artistes l’amène à assister à la plupart des enterrements de célébrités, à tel point que son ami Thierry Le Luron l’avait surnommé « la Mère Lachaise » (en référence au célèbre cimetière parisien et à son homosexualité)4.
Il devient ainsi rapidement, à partir des années 1970 le confident des grandes stars, comme Arletty, ou Jean Gabin, et il acquiert un savoir encyclopédique sur le show business. Toutefois, il publie entre 2000 et 2007 une grande partie de ses connaissances et anecdotes, avec des récits largement autobiographiques (dont Le Ruisseau des singes, en 2000).
Il racontera aussi, en parallèle, ses anecdotes et confidences sur le show business, en de nombreuses émissions de télévision, ou de radio, où il était un « bon client ». Il était aussi consulté régulièrement pour des documentaires sur diverses personnalités.
Fin de vie[|]
Tombe de Jean-Claude Brialy au cimetière de Montmartre (15e division) à Paris.
Jean-Claude Brialy tourne son dernier téléfilm en 2006, Monsieur Max de Gabriel Aghion. On le voit aux obsèques de Gérard Oury, en juillet 2006, avec lequel il avait tourné Lévy et Goliath, aux funérailles de Philippe Noiret le 27 novembre 2006 et à celles de Jean-Pierre Cassel en avril 2007. Quelques jours avant sa mort, Jean-Claude Brialy est présent à Cannes pour les soixante ans du festival et à l’émission de Philippe Bouvard, Les Grosses Têtes, dont il était « sociétaire ».
Entre 2006 et 2007, il soutient la candidature à la présidence de la République de Nicolas Sarkozy, dont il assiste à de nombreux meetings.
Celui-ci est élu président, quelques jours avant la mort de Brialy à Monthyon, le 30 mai 2007 (des suites d’un cancer du foie, n’ayant averti personne — pas même ses amis proches — de sa maladie) à qui il rend alors hommage par un communiqué, puis en assistant à ses obsèques. Celles-ci sont célébrées en l’église Saint-Louis-en-l’Île, le 4 juin 2007. La messe des funérailles est concélébrée par l’évêque Jean-Michel Di Falco et l’abbé Gérard Pelletier, en présence de nombreuses autres personnalités et célébrités. La maladie dont serait mort Jean-Claude Brialy est connue en détails et confidences par Line Renaud, et Monseigneur Jacques Gaillot.
Jean-Claude Brialy est enterré au cimetière de Montmartre, l’acteur cabot ayant choisi volontairement une tombe juste à côté de la célèbre « Dame aux Camélias » pour bénéficier de la visite de ses admirateurs. Un édicule abrite une muse couronnée de pavots7.
Vie privée[|]
Son homosexualité, longtemps cachée à son père et au monde du cinéma, est revendiquée depuis la parution en 2000 de son autobiographie Le Ruisseau des singes8. Il déclare au magazine Têtu en mai 2005 qu’au début de sa carrière, « c’était tabou. […] D’ailleurs, je ne vois pas l’intérêt de dire : « Il est jaune », « Il est juif » ou « Bonjour, je suis homosexuel ». Moi, j’étais un « homosexuel naturel », je ne me suis jamais posé de questions, j’ai eu des aventures avec des femmes, des hommes… J’ai choisi les hommes par égoïsme, parce que je trouvais que les rapports étaient plus simples, mais aussi par goût ». En 1994, Jean-Claude Brialy participe au doublage du film Priscilla, folle du désert, qui traite du thème de l’homosexualité : il prête sa voix à l’acteur Terence Stamp.
Opposé au mariage gay, mais favorable à un PACS amélioré (« Les gens qui se pacsent devraient avoir les mêmes droits que les gens mariés »), Jean-Claude Brialy s’est aussi beaucoup engagé dans la lutte contre le sida, notamment aux côtés de Line Renaud : « Beaucoup croient que le sida se guérit, mais pas du tout, la mort est toujours au bout. Les homosexuels doivent montrer l’exemple et encourager les gens à se protéger, à se défendre. Je suis un porte-parole de Sidaction. Je vais aux réunions et il y a quelques années, j’ai fait avec Sophia Loren une vente aux enchères qui a rapporté dix millions de francs. On a pu acheter une maison à Genève pour les gens en fin de vie. »
En 2013, Bruno Finck (1962-2021), son dernier compagnon et son héritier, vend aux enchères le contenu de l’appartement de l’île Saint-Louis qu’il partageait avec le comédien9. La ville de Meaux reçoit en legs sa propriété de Monthyon et sa collection d’objets10. Son compagnon vivait toujours au château de Monthyon en tant qu’usufruitier du domaine.
Théâtre[|]
En tant qu’acteur[|]
1958 : Les portes claquent de Michel Fermaud, mise en scène Christian-Gérard, théâtre Daunou
1962 : Un dimanche à New-York de Norman Krasna, mise en scène Jacques Sereys, théâtre du Palais-Royal
1965 : Madame Princesse de Félicien Marceau, mise en scène de l’auteur théâtre du Gymnase Marie-Bell
1966 : Madame Princesse de Félicien Marceau, mise en scène de l’auteur théâtre des Célestins
1968–1970 : La Puce à l’oreille de Georges Feydeau, mise en scène Jacques Charon, théâtre Marigny puis au théâtre du Palais-Royal et au théâtre des Célestins
1971 : Le Ciel de lit de Jan de Hartog, adaptation Colette, mise en scène Jacques Charon, théâtre du Palais-Royal
1974 : L’Hôtel du libre échange, de Georges Feydeau, théâtre Marigny
1977 : Si t’es beau, t’es con de Françoise Dorin, mise en scène Jacques Rosny, théâtre Hébertot
1980 : Madame est sortie de Pascal Jardin, mise en scène Pierre Boutron, Comédie des Champs-Élysées
1984 : Désiré de Sacha Guitry, mise en scène Jean-Claude Brialy, théâtre Édouard VII
1986 : Le Nègre de Didier Van Cauwelaert, mise en scène Pierre Boutron, théâtre des Bouffes-Parisiens
1989 : L’Illusionniste de Sacha Guitry, mise en scène Jean-Luc Moreau, théâtre des Bouffes-Parisiens
1992 : La Jalousie de Sacha Guitry, mise en scène Jean-Claude Brialy, théâtre des Bouffes-Parisiens, théâtre du Gymnase à Marseille, théâtre des Célestins, Festival de Ramatuelle et tournée
1994 : Show bis de Neil Simon, mise en scène Georges Wilson, théâtre des Bouffes-Parisiens : voix
1996 : Monsieur de Saint-Futile de Françoise Dorin, mise en scène Jean-Luc Moreau, théâtre des Bouffes-Parisiens et tournée
1999 : Mon père avait raison de Sacha Guitry, mise en scène Jean-Claude Brialy, tournée puis théâtre des Bouffes-Parisiens
2002 : Poste restante, de Noël Coward, mise en scène Daniel Roussel, théâtre du Palais-Royal
2005 : J’ai oublié de vous dire, spectacle de et avec Jean-Claude Brialy, théâtre des Bouffes-Parisiens, Festival d’Anjou et tournée avec le pianiste Pascal Amoyel
En tant que metteur en scène[|]
1979 : La Fugue de Francis Lacombrade et Bernard Broca, musique Alexis Weissenberg, théâtre de la Porte-Saint-Martin
1984 : Désiré de Sacha Guitry, théâtre Édouard VII
1992 : La Jalousie de Sacha Guitry, théâtre des Bouffes-Parisiens
1992 : La Puce à l’oreille de Georges Feydeau, théâtre de la Michodière
1994 : Le Bal des voleurs de Jean Anouilh, Festival d’Anjou
1994 : La Source bleue de Pierre Laville, théâtre Daunou
1996 : L’Invitation au château de Jean Anouilh
1999 : Mon père avait raison de Sacha Guitry, théâtre des Bouffes-Parisiens
1999 : Le Sexe faible d’Édouard Bourdet
2000 : Les Parents terribles de Jean Cocteau
Filmographie[|]
Acteur de cinéma[|]
Courts métrages[|]
1954 : Chiffonard et Bonaloy de Pierre Lhomme, documentaire pour le cinéma aux armées : Chiffonard + le narrateur
1954 : Paris, mon copain de Pierre Lhomme, documentaire : le narrateur
1956 : Le Coup du berger de Jacques Rivette : Claude, l’amant de Claire
1956 : La Sonate à Kreutzer d’Éric Rohmer : Trukhacevskij
1956 : Tous les garçons s’appellent Patrick ou Charlotte et Véronique de Jean-Luc Godard : Patrick
1956 : Les Surmenés de Jacques Doniol-Valcroze : Jimmy Brincourt
1956 : Les Mistons de François Truffaut : l’amoureux du film projeté au cinéma (non crédité)
1957 : Une histoire d’eau de Jean-Luc Godard et François Truffaut : le jeune homme en voiture
1970 : Côté cour, côté jardin de Guy Gilles
1979 : Cinématon de Gérard Courant, sketch « Paris »
1982 : Notre-Dame de la Croisette de Daniel Schmid : lui-même
1985 : Tueur de fous de Guillaume Perotte
1986 : Hypothèse d’un soir de Marie-Christine Fieni
1992 : Tous les garçons d’Étienne Faure
1993 : Monsieur Dior de Frank Maubert et Mathias Ledoux, documentaire : le narrateur
1994 : Sacha Guitry et ses femmes de Pierre Philippe, documentaire : le narrateur
2000 : Hommage à Alfred Lepetit de Jean Rousselot
2006 : Mon dernier rôle d’Olivier Ayache-Vidal : lui-même
Longs métrages[|]
Années 1950[|]
1956 : Les Mauvaises Rencontres d’Alexandre Astruc11
1956 : Notre-Dame de Paris de Jean Delannoy : figuration
1956 : Elena et les Hommes de Jean Renoir (rôle coupé au montage)
1957 : L’Ami de la famille de Jack Pinoteau : Philippe Lemonnier
1957 : Tous peuvent me tuer d’Henri Decoin : un enquêteur
1957 : Méfiez-vous fillettes d’Yves Allégret : un client du « sexy-bar »
1957 : Amour de poche de Pierre Kast : Jean-Loup
1957 : Le Triporteur de Jack Pinoteau : Jean-Claude, un jeune vacancier
1957 : Ascenseur pour l’échafaud de Louis Malle : un joueur d’échecs
1957 : Cargaison blanche de Georges Lacombe : Jean
1958 : L’École des cocottes de Jacqueline Audry : Robert
1958 : Et ta sœur de Maurice Delbez : Bruno Puymartin
1958 : Christine de Pierre Gaspard-Huit : Théo Kaiser
1958 : Paris nous appartient de Jacques Rivette : Jean-Marc
1958 : Les Amants de Louis Malle : un homme au manège
1958 : Le Beau Serge de Claude Chabrol : François
1959 : Les Garçons (La notte brava) de Mauro Bolognini : Scintillone
1959 : Les Cousins de Claude Chabrol : Paul
1959 : Les Quatre Cents Coups de François Truffaut : un passant
1959 : Le Chemin des écoliers de Michel Boisrond : Paul Tiercelin
1959 : Les Yeux de l’amour de Denys de La Patellière : Pierre Ségur
Années 1960[|]
1960 : Le Bel Âge de Pierre Kast : Jean-Claude
1960 : Le Gigolo de Jacques Deray : Jacky
1961 : Les Godelureaux, de Claude Chabrol : Ronald
1961 : Adieu Philippine, de Jacques Rozier : le comédien de l’émission télévisée Monserrat
1961 : Les lions sont lâchés d’Henri Verneuil : Didier Marèze
1961 : Les Amours célèbres de Michel Boisrond, sketch Agnès Bernauer : Erich Torring
1961 : Une femme est une femme de Jean-Luc Godard : Émile Récamier
1961 : Le Puits aux trois vérités de François Villiers : Laurent Renaud
1961 : Les Petits Matins ou Mademoiselle stop de Jacqueline Audry : Jean-Claude, le représentant en brosses
1961 : Aimez-vous Brahms ? d’Anatole Litvak : voix française d’Anthony Perkins
1961 : Tire-au-flanc 62 de Claude de Givray et François Truffaut : le capitaine
1962 : L’Éducation sentimentale d’Alexandre Astruc : Frédéric Moreau
1962 : Les Sept Péchés capitaux, sketch L’Avarice de Claude Chabrol : Arthur
1962 : Les Veinards, sketch Le Gros Lot de Jack Pinoteau : le jeune homme en voiture
1962 : Arsène Lupin contre Arsène Lupin d’Édouard Molinaro : François de Vierne
1962 : Le Diable et les Dix Commandements, sketch Bien d’autrui ne prendras de Julien Duvivier : Didier Martin, l’employé de banque
1962 : La Chambre ardente de Julien Duvivier : Marc Desgrez
1962 : Cléo de 5 à 7 d’Agnès Varda : l’infirmier
1962 : La Bande Casaroli (La banda Casaroli) de Florestano Vancini
1962 : Vie privée de Louis Malle : le narrateur
1962 : Vanina Vanini de Roberto Rossellini : non crédité
1963 : Carambolages de Marcel Bluwal : Paul Martin
1963 : Le Glaive et la Balance d’André Cayatte : Jean-Philippe Prévost
1964 : La Bonne Soupe de Robert Thomas : Jacquot
1964 : La Ronde de Roger Vadim : Alfred
1964 : Un monsieur de compagnie de Philippe de Broca : le prince
1964 : La Chasse à l’homme d’Édouard Molinaro : Antoine Monteil
1964 : Château en Suède de Roger Vadim : Sébastien
1964 : Tonio Kröger de Rolf Thiele : Tonio Kruger
1964 : Comment épouser un premier ministre de Michel Boisrond : Philippe Lambert
1964 : L’Amour à la chaîne de Claude de Givray
1964 : La Bonne Occase de Michel Drach
1964 : Les Siffleurs d’Eino Ruutsalo
1965 : L’Amour à la mer de Guy Gilles : l’homme désenchanté
1965 : Cent briques et des tuiles de Pierre Grimblat : Marcel
1965 : La Mandragore (La mandragola) d’Alberto Lattuada : Ligurio
1965 : Je la connaissais bien (Io la conoscevo bene) d’Antonio Pietrangeli : Dario
1965 : L’Amant paresseux (Il morbidone) de Massimo Franciosa : Francesco, l’ami de Valeria
1966 : Le Roi de cœur de Philippe de Broca : le duc de trèfle
1966 : I nostri mariti, sketch Il marito di Olga de Luigi Zampa : Ottavio
1966 : Un homme de trop de Costa-Gavras : Jean
1967 : Le Plus Vieux Métier du monde, sketch Mademoiselle Mimi de Philippe de Broca : Philibert
1967 : Lamiel de Jean Aurel : le comte d’Aubigné
1967 : La mariée était en noir de François Truffaut : Corey
1967 : Au diable les anges de Lucio Fulci : Cajella
1968 : Caroline chérie de Denys de La Patellière : Boismussy
1968 : Manon 70 de Jean Aurel : Jean-Paul
1969 : Le Bal du comte d’Orgel de Marc Allégret
1969 : Tout peut arriver de Philippe Labro
1969 : Le Genou de Claire d’Éric Rohmer : Jérôme
Années 1970[|]
1971 : Une saison en enfer (Una stagione all’inferno) de Nelo Risi : Paul Verlaine
1971 : Comment entrer dans la mafia (Cose di Cosa Nostra) de Steno : Domenico Gargiulo
1972 : Un meurtre est un meurtre d’Étienne Périer : Paul Kastner
1973 : Un amour de pluie de Jean-Claude Brialy : le dragueur – également coscénariste
1973 : L’Oiseau rare de Jean-Claude Brialy : Armand – également coscénariste
1974 : Comme un pot de fraises de Jean Aurel : Norbert
1974 : Le Fantôme de la liberté de Luis Buñuel : Monsieur Foucault
1975 : Barry Lyndon de Stanley Kubrick : le narrateur (dans la version française)
1975 : Un animal doué de déraison de Pierre Kast : Claude
1975 : Catherine et Compagnie de Michel Boisrond : Guillaume
1975 : Les Onze Mille Verges d’Éric Lipmann
1975 : Dreyfus ou l’Intolérable Vérité de Jean Chérasse : le narrateur
1976 : Le Juge et l’Assassin de Bertrand Tavernier : Villedieu
1976 : Les Œufs brouillés de Joël Santoni : Brumaire
1976 : L’Année sainte de Jean Girault : Pierre Bizet
1976 : Barocco d’André Téchiné : Walt, le directeur du journal
1977 : Le Point de mire de Jean-Claude Tramont : Michel Gaur
1977 : Julie pot de colle de Philippe de Broca : Jean-Luc
1977 : L’Imprécateur de Jean-Louis Bertuccelli : Le Rantec
1977 : Enquête à l’italienne (Doppio delitto) de Steno : Van Nijlen
1977 : Pour Clémence de Charles Brabant : le narrateur
1978 : Robert et Robert de Claude Lelouch : Jacques Millet, marchand d’esclaves
1978 : La Chanson de Roland de Frank Cassenti : le seigneur
1979 : Le Maître-nageur de Jean-Louis Trintignant : Logan
1979 : Les Plus Grands Moments d’Hollywood d’Edward Shaw : le narrateur (dans la version française)
1979 : Bobo Jacco de Walter Bal : Guillaume
Années 1980[|]
1980 : L’Œil du maître de Stéphane Kurc : Cazeau
1980 : Bobo la tête de Gilles Katz (caméo)
1980 : La Banquière de Francis Girod : Paul Cisterne
1981 : Les Uns et les Autres de Claude Lelouch : le directeur du Lido12
1982 : La Nuit de Varennes d’Ettore Scola : M. Jacob
1982 : La Fille de Trieste (La ragazza di Trieste) de Pasquale Festa Campanile : le professeur Martin
1982 : Édith et Marcel de Claude Lelouch : Loulou Barrier
1982 : Mortelle Randonnée de Claude Miller : Voragine
1983 : La Crime de Philippe Labro : Jean-François Rambert
1983 : Le Démon dans l’île de Francis Leroi : le docteur Paul-Henri Marshall
1983 : Cap Canaille de Juliet Berto et Jean-Henri Roger : Maître Samuel Kedabjan
1983 : Sarah de Maurice Dugowson : Gabriel Larcange
1983 : Stella de Laurent Heynemann : Roland Caron
1983 : Papy fait de la résistance de Jean-Marie Poiré : le joueur de tennis
1984 : Pinot simple flic de Gérard Jugnot : le principal Morcy
1984 : Le téléphone sonne toujours deux fois de Jean-Pierre Vergne : le commissaire
1985 : Le Mariage du siècle de Philippe Galland : Kaffenberg
1985 : Le Quatrième Pouvoir de Serge Leroy : le P. D. G. de la télévision
1985 : L’Effrontée de Claude Miller : Sam
1985 : Inspecteur Lavardin de Claude Chabrol : Claude Alvarez
1986 : Le Débutant de Daniel Janneau : Willy
1986 : Grand Guignol de Jean Marbœuf : M. Albert
1986 : Suivez mon regard de Jean Curtelin : Freddy Langlois
1987 : Le Moustachu de Dominique Chaussois : Leroy
1987 : Lévy et Goliath de Gérard Oury : Bijou / Delaroche
1987 : Un homme et une femme : Vingt ans déjà de Claude Lelouch : un spectateur à la projection privée
1987 : Maladie d’amour de Jacques Deray : Frédéric
1987 : Les Innocents d’André Téchiné : Klotz
1987 : Maschenka de Jean de Goldschmidt : Kolin
1989 : Comédie d’été de Daniel Vigne : Gaston
1989 : Ripoux contre ripoux de Claude Zidi : le banquier
Années 1990[|]
1990 : S’en fout la mort de Claire Denis : Pierre Ardennes
1990 : Au bonheur des chiens (C’era un castello con 40 cani) de Duccio Tessari : le juge
1990 : Faux et usage de faux de Laurent Heynemann : Charles Laumière
1991 : Août d’Henri Herré : Martin
1993 : La Reine Margot de Patrice Chéreau : Coligny
1994 : Le Monstre de Roberto Benigni : Roccarotta
1994 : Une femme française de Régis Wargnier : Arnoult
1995 : Les Cent et Une Nuits de Simon Cinéma d’Agnès Varda : le guide des Japonais
1995 : Beaumarchais, l’insolent d’Édouard Molinaro : Abbot
1995 : Les Caprices d’un fleuve de Bernard Giraudeau : M. de Saint-Chamont
1996 : Le Fils de Gascogne de Pascal Aubier13 : lui-même
1996 : Portraits chinois de Martine Dugowson : René Sandre
1998 : Kennedy et moi de Sam Karmann : Benny Grimaldi
1999 : L’Homme de ma vie de Stéphane Kurc : Lucien
1999 : Les Acteurs de Bertrand Blier : lui-même
1999 : Lettre à mon frère Guy Gilles, cinéaste trop tôt disparu, documentaire de Luc Bernard : lui-même
Années 2000[|]
2000 : In extremis d’Étienne Faure : l’avocat
2001 : Concurrence déloyale d’Ettore Scola : Nonno Mattia
2001 : C’est le bouquet ! de Jeanne Labrune : Robert Fresnel
2001 : Les Filles, personne s’en méfie de Charlotte Silvera : le projectionniste
2001 : South Kensington de Carlo Vanzina : Fernandino
2002 : La Demi-Mondaine amoureuse de Didier Dessapt
2003 : Les Clefs de bagnole de Laurent Baffie : un comédien qui refuse de tourner avec Baffie (caméo)
2003 : Aimez-moi les uns les autres de Tiburce
2004 : People ou Jet Set 2 de Fabien Onteniente : Minimo
2004 : Quoi ? L’Éternité d’Étienne Faure, documentaire : lui-même
2004 : Quartier VIP de Laurent Firode : Ferdinand
2007 : Vous êtes de la police ? ou Dernière enquête ou Les Sapins bleus de Romuald Beugnon
Acteur de télévision[|]
1960 : Les Parents terribles de Jean-Paul Carrère : Michel
1962 : Chéri de François Chatel : Chéri, l’amant de Léa
1966 : Anna de Pierre Koralnik : Serge
1966 : Carosello – All’ultimo sorso de Mario Fattori et Edo Cacciari
1972 : Dans les jardins de Franc-Nohain, documentaire d’Alain Frey : lui-même
1974 : La Peur des coups de Jeannette Hubert : lui-même
1977 : Dancing Star, émission de variété de Jacques Brialy : lui-même
1980 : Arsène Lupin joue et perd, série d’Alexandre Astruc : Arsène Lupin
1982 : Caméra une première – épisode : L’Accompagnateur de Pierre Boutron : le directeur de la compagnie d’assurances
1982 : Mozart, série de Marcel Bluwal
1983 : Quelques hommes de bonne volonté, série de François Villiers : Quinette
1983 : Père Noël et fils de André Flédérick : Thomas
1984 : Désiré de Dominique Giuliani, sur une mise en scène de Jean-Claude Brialy : Désiré
1984 : Die Schöne Wilhelmine de Rolf Von Sydow : Casanova
1984 : Ces chers disparus : Françoise Dorléac, documentaire de Denis Derrien : lui-même
1985 : L’Herbe rouge de Pierre Kast : l’abbé Grille
1985 : Vivement Truffaut / Hommage à Truffaut, documentaire de Claude de Givray : lui-même
1988 : François Truffaut : Correspondance à une voix, court-métrage documentaire de Michèle Reiser : lui-même
1989 : Les Deux Virus de Bruno Gantillon
1989 : Le Nègre de Yves-André Hubert : le nègre
1989 : Le Clochard « Loft story » de Stéphane Bertin et Boramy Tioulong
1990 : Ne m’oubliez pas : Hommage à Bernard Blier, documentaire de Mathias Ledoux : lui-même
1990 : C’est quoi, ce petit boulot ?, série de Michel Berny et Gian Luigi Polidoro : Julien Panni
1990 : Ferbac
1990 : Mariage mortel de Marc Rivière : Ferbac
1991 : Les Bains de jouvence de Marc Rivière : Ferbac
1991 : Péché de jeunesse de Bruno Gantillon
1991 : L’Illusionniste de Michel Treguer : l’illusionniste
1991 : Échec et mat de José-Maria Sanchez Silva : Piantoni
1991 : Lucas de Nadine Trintignant : Werner
1993 : Le crime de Ferbac de Bruno Gantillon : Ferbac
1993 : Le Mal des ardents de Roland Verhavert : Ferbac
1993 : Carnaval des ténèbres de Sylvain Madigan : Ferbac
1993 : Le Festin de miséricorde de Christian Faure : Éric Ferbac, officier de gendarmerie
1993 : Sandra, princesse rebelle, feuilleton de Didier Albert : Jean Duplessis
1994 : La Jalousie de Patrick Bureau
1996 : Belmondo le magnifique, documentaire de Patrick Chammings : lui-même
1997 : Les Héritiers de Josée Dayan : le commissaire Bonnard
1997 : La Grande Béké d’Alain Maline : M. Dupont-Ménard
1997 : Cannes… les quatre cents coups, documentaire de Gilles Nadeau : lui-même
1998 : Le Comte de Monte-Cristo , mini-série de Josée Dayan : le père Morrel
1997 : Nos jolies colonies de vacances de Stéphane Kurc : Max
1998 : Ils sont tous nos enfants / Élisabeth de Pasquale Squitieri : le juge Defoi
1999 : Barbara, je chante ma vie, documentaire de Philippe Kohly : lui-même
2000 : La Bicyclette bleue de Thierry Binisti : Raphaël Mahl
2001 : Les Filles à papa de Marc Rivière : Robert
2001 : Nadia Coupeau, dite Nana d’Édouard Molinaro : Vandoeuvres
2002 : Le hasard fait bien les choses de Lorenzo Gabriele : Jean-Pierre Muller
2002 : On ne choisit pas sa famille de François Luciani : Michel
2004 : Le Président Ferrare : L’Affaire Valéra d’Alain Nahum : Guillaume Ferrare
2004 : Le Président Ferrare : L’Affaire Denise Chabrier d’Alain Nahum : Guillaume Ferrare
2004 : Le Plus Bel Homme du monde de Serge Khalfon : lui-même
2005 : Les Rois maudits, mini-série de Josée Dayan : Hugues de Bouville
2006 : Le Président Ferrare : L’Affaire Gilles d’Aubert d’Alain Nahum : Guillaume Ferrare
2006 : Monsieur Max de Gabriel Aghion : Max Jacob
Jean-Claude Brialy dans Le Président Ferrare.
Réalisateur de cinéma[|]
1955 : French Cancan de Jean Renoir – stagiaire assistant-réalisateur
1972 : Églantine – également scénariste
1973 : Les Volets clos
1973 : L’Oiseau rare – également scénariste
1974 : Un amour de pluie – également scénariste
1983 : Un bon petit diable – également coadaptateur avec Didier Decoin
Réalisateur de télévision[|]
1979 : La Nuit de l’été
1981 : Les Malheurs de Sophie d’après la comtesse de Ségur14
1981 : Cinq-Mars – également scénariste
1995 : Vacances bourgeoises
1995 : Il ne faut jurer de rien d’après Alfred de Musset
1997 : Georges Dandin d’après Molière
1998 : La Dame aux camélias d’après Alexandre Dumas fils – également scénariste
1998 : Le Comte de Monte-Cristo , mini-série de Josée Dayan : Père Morrel
2003 : Les Parents terribles d’après Jean Cocteau
2005 : Les Rois Maudits mini-série Hugues III de Bouville
Discographie[|]
1964 : Horizontalement (Super 45 tours 4 titres), paroles de Roland Valade, musique de Jean Ferrat15,16
1967 : Anna (bande originale de Serge Gainsbourg du téléfilm Anna) – interprétation en solo ainsi qu’en duo avec Serge Gainsbourg et avec Anna Karina
Publications[|]
Histoires de stars, Paris, Editions n° 1, 1992 (ISBN 2-86391-502-9)
Histoires de stars : n° 2, Paris, Editions n° 1, 1993 (ISBN 2-86391-547-9).
Le Ruisseau des singes, Paris, R. Laffont, 2000, 429 p. (ISBN 2-221-08484-5)
Les Répliques les plus drôles du cinéma, Paris, Cherche Midi, coll. « Le Sens de l’humour », 2003, 211 p. (ISBN 2-7491-0075-5)
J’ai oublié de vous dire…, Paris, XO, 2004, 396 p. (ISBN 2-84563-158-8)
Mon Algérie, Boulogne-Billancourt, Timée-Editions, 2006 (ISBN 2-915586-67-5)
Les Pensées les plus drôles des acteurs, Paris, Cherche Midi, coll. « Le Sens de l’humour », 2006, 181 p. (ISBN 2-7491-0512-9)
Distinctions[|]
Décorations[|]
France :
Commandeur de la Légion d’honneur
Commandeur de l’ordre national du Mérite
Commandeur de l’ordre des Arts et des Lettres
Monaco : Commandeur de l’ordre du Mérite culturel (novembre 2002)17
Jean-Claude Brialy est le sujet d’un documentaire de 1h30, diffusé par France-Télévisions en 2013. Produit par Fabienne Servan-Schreiber et Laurence Miller pour Ciné-Tévé, ‘Jean-Claude Brialy ou le goût des autres’, réalisé par Henry-Jean Servat et Bruno Bouvier réunit, dans son château de Monthyon, Claudia Cardinale, Robert Hossein, Nana Mouskouri, Françoise Arnoul, Mylène Demongeot, Pierre Arditi, Marina Vlady, Anna Karina et 10 autres de ses amis. A l’occasion du 10e anniversaire de la mort de Jean-Claude Brialy (2017), Bruno son compagnon crée l’association des amis de Jean-Claude Brialy en réunissant ainsi tous les amis du comédien au sein d’un comité d’honneur prestigieux. Brigitte Fossey est, après la disparition de Jeanne Moreau, la présidente de ce comité d’honneur. Cette même année le documentaire de 26 mn Une maison, un artiste réalisé par François Chayé et produit par A Prime Group, avec la participation de France télévision, sera diffusé sur France 5.
Récompenses[|]
Prix Jean-Le-Duc 1972 décerné par l’Académie française pour son film Églantine
Césars 1988 : César du meilleur acteur dans un second rôle pour Les Innocents
Prix Ballantine 1990 du « Maître du bon goût
Forum international cinéma & littérature 2006 : Trophée d’honneur
Monte-Carlo Film Festival de la Comédie 2006 : Hommage
Nomination[|]
Césars 1977 : César du meilleur acteur dans un second rôle pour Le Juge et l’Assassin
Bibliographie[|]
Jacques Brachet (préf. Jacqueline Franjou), Jean-Claude Brialy : Ramatuelle, une histoire d’amour, Paris, D. Carpentier, coll. « Témoignages », 2008, 96 p. (ISBN 978-2-84167-578-4)
Pascale Bordet et Guillaume Evin, L’Ami Brialy : le prince des dandys, Paris, Hugo Image, 2022 (ISBN 978-2-7556-6229-0)
Notes et références[|]
↑ Who’s who, J. Lafitte, 2003, p. 357.
↑ Jean Claude Brialy, Le ruisseau des singes. Autobiographie, Robert Laffont, 2011, 346 p. (ISBN 978-2-221-11835-1, lire en ligne []), p. 17
↑ Les fortes attaches familiales de Jean-Claude Brialy à Issoire []
↑
a b c d et e Laurent Delahousse, Un jour, un destin : « Jean-Claude Brialy, l’homme qui voulait tant être aimé », documentaire diffusé sur France 2, le 28 septembre 2014.
↑ http://www.leparisien.fr/monthyon-77122/le-havre-de-paix-de-jean-claude-brialy-a-monthyon-sur-les-pas-de-jean-claude-brialy-a-monthyon-10-08-2015-5002107.php []
↑
a et b Jean-Claude Brialy, Le Ruisseau des singes, éditions Robert Laffont, Paris, 2000
↑ « Tombe de Jean-Claude Brialy. Cimetière Montmartre » [], sur montmartre-secret.com, 26 avril 2016.
↑ Alain Brassart, L’homosexualité dans le cinéma français, Nouveau monde, 2007, p. 113
↑ Pauline Simons, « Les souvenirs de Jean-Claude Brialy aux enchères » [], sur Le Figaro, 16 janvier 2013
↑ « La collection de Jean-Claude Brialy estimée à 305 000 € » [], sur Le Parisien, 12 mars 2013
↑ Dans son premier livre, il dit être sur le plateau sans préciser si c’est en tant que technicien ou que figurant.
↑ Diffusé également en 5 épisodes de 52 min à la télévision
↑ Film de télévision sorti également en salles
↑ Sorti également en salles.
↑ Claude Dejacques, « Jean-Claude Brialy – Horizontalement », encyclopédie numérique, BIEM, 12 octobre 2020 (lire en ligne [])
↑ Bernard Thauvron, « Jean-Claude Brialy – Horizontalement », filmographie numérique, YOUTUBE, 1er mai 2013 (lire en ligne [])
↑ Ordonnance Souveraine no 15.565 du 18 novembre 2002 [] portant promotions ou nominations dans l’Ordre du Mérite Culturel
Voir aussi[|]
Articles connexes[|]
Sur les autres projets Wikimedia :
Disparition de Jean-Claude Brialy, sur Wikinews
Homosexualité au cinéma
Liens externes[|]
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Ressource relative au spectacle : Les s du spectacle
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Jean-Claude Brialy, l’enchanteur [] : une sélection de vidéos de l’Ina.
Entretien avec Jean-Claude Brialy (1970) [], une de la Télévision suisse romande.
Le Coin du cinéphage [].
Liste des articles consacrés à Jean-Claude Brialy [] sur Calindex.eu
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Jean-Claude Brialy
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César du meilleur acteur dans un second rôle
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