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combien de feminicide 2021 ?

  • Listed: 2 septembre 2022 1 h 37 min

Description

https://www.ouest-france.fr › faits-divers › feminicide › 113-feminicides-ont-ete-recenses-en-france-en-2021-e0295856-6ae4-11ec-8a2c-3a25de105c9b

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113 féminicides ont été recensés en France en 2021 et déjà deux en 2022
113 féminicides ont été recensés en France en 2021 et déjà deux en 2022 Alors que les chiffres officiels du gouvernement ne sont pas encore connus, l’association Nous toutes fait état de 113…

https://www.ladepeche.fr › 2022 › 01 › 01 › feminicides-113-femmes-tuees-en-2021-en-france-et-deja-deux-ce-1er-janvier-2022-10022236.php

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Féminicides : 113 femmes tuées en 2021 en France, et déjà deux ce 1er …
Le collectif Féminicides par conjoint ou ex-conjoint a recensé 113 féminicides pour l’année 2021 en France. L’an dernier, elles étaient 102, selon ce même collectif et le ministère de…

https://www.vie-publique.fr › en-bref › 280594-victimes-de-violences-conjugales-bilan-de-lordonnance-de-protection

https://www.vie-publique.fr › en-bref › 280594-victimes-de-violences-conjugales-bilan-de-lordonnance-de-protection
Femmes victimes de violences conjugales – Vie publique
Les chiffres des violences faites aux femmes sont élevés : 48 femmes ont été tuées depuis le début 2021 et près de 220 000 déclarent chaque année subir des violences (seules 18% d’entre elles portent plainte). Les récents féminicides soulignent encore la nécessité de mieux protéger les victimes de violences conjugales.

https://feminicides-dz.com › feminicides › feminicides-2021 › liste-des-feminicides-2021

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Liste des féminicides 2021 – Feminicides-dz
Féminicides 2021 Le 07 Janvier 2021, à Annaba, N. Zahra, 80 ans, retrouvée égorgée dans sa maison. Elle était mère de plusieurs enfants. Le 24 Janvier 2021, à Tebessa, Warda Hafadh, 45 ans, frappée par son mari qui l’a ensuite poignardée avec plusieurs coups de couteau devant ses enfants. Elle a été pendant 25 ans victime de violences conjugales.

https://fr.wikipedia.org › wiki › Liste_des_féminicides_en_France_en_2022

https://fr.wikipedia.org › wiki › Liste_des_féminicides_en_France_en_2022
Liste des féminicides en France en 2022 — Wikipédia
Cette liste répertorie des féminicides ayant eu lieu en 2022 en France. Collages féministes rendant hommages à Amanda Glain, victime d’un féminicide. En 2022, 61 féminicides conjugaux ont eu lieu depuis le 1er janvier (nombre au 23 juillet 2022), selon le Collectif Féminicides par compagnons ou ex et 7 féminicides non conjugaux.

https://www.feminicides.fr › statistiques2022

https://www.feminicides.fr › statistiques2022
Statistiques 2022 | Féminicides France
LES CHIFFRES DE 2022 (à minima) FÉMINICIDES -> par (ex)compagnons : 74 (+ 10 tiers dont 6 enfants) * 60 tuées chez elles, 13 ailleurs, 1 non connue * 44 en contexte de séparation et/ou de violences connues (peu renseigné) * 47 étaient mères (dont 5 tués avec leurs enfants) + 2 enceintes (5 mois et 8 mois) – pas toujours renseigné

https://actu.fr › ile-de-france › paris_75056 › feminicides-viols-les-chiffres-des-violences-faites-aux-femmes-a-paris_46609859.html

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Féminicides, viols : les chiffres des violences faites aux … – Actu
Féminicides, viols : les chiffres des violences faites aux femmes à Paris . La préfecture de police et le ministère de l’Intérieur ont enregistré une hausse des plaintes pour viols en 2021.

https://www.onufemmes.fr › nos-actualites › 2019 › 11 › 25 › feminicides-etat-des-lieux-de-la-situation-dans-le-monde

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Féminicides : état des lieux de la situation dans le monde
Si l’on compare le nombre de féminicides par région du monde, on observe que l’Asie arrive en tête avec 20 000 femmes assassinées en 2017, devant l’Afrique (19 000), le continent américain (8 000), l’Europe (3 000), et l’Océanie (300). Néanmoins, avec un taux d’homicides conjugaux/familiaux de 3,1 pour 100 000 femmes, l’Afrique est la région où les femmes ont le plus de …

https://www.lemonde.fr › societe › article › 2021 › 08 › 02 › feminicides-en-2020-pres-d-une-victime-sur-cinq-avait-porte-plainte_6090306_3224.html

https://www.lemonde.fr › societe › article › 2021 › 08 › 02 › feminicides-en-2020-pres-d-une-victime-sur-cinq-avait-porte-plainte_6090306_3224.html
Féminicides : en 2020, près d’une victime sur cinq avait porté plainte
Une étude sur les morts violentes au sein du couple, publiée lundi par le ministère de l’intérieur, recense 102 féminicides perpétrés l’an passé. Parmi les femmes tuées, 35 % avaient déjà subi…

https://www.lepoint.fr › societe › quatre-vingt-dix-feminicides-en-2020-au-plus-bas-depuis-quinze-ans-02-02-2021-2412345_23.php

https://www.lepoint.fr › societe › quatre-vingt-dix-feminicides-en-2020-au-plus-bas-depuis-quinze-ans-02-02-2021-2412345_23.php
Quatre-vingt-dix féminicides en 2020, au plus bas depuis quinze ans
Publié le 02/02/2021 à 17h25 L e nombre de féminicides est au plus bas depuis que le gouvernement a commencé à les recenser il y a quinze ans: 90 femmes ont été tuées par leurs conjoints et…

Collectif Féminicides par compagnons ou ex
Cadre
Forme juridique Collectif
But Recenser les féminicides conjugaux en France
Zone d’influence France
Fondation
Fondation Juillet 2016
Identité
Bénévoles 2016 : 2
2018 : 3
2019 : 4
2022 : 4
Site web www.feminicides.fr
modifier
Le collectif Féminicides par compagnons ou ex (abrégé collectif FPCE), est un collectif féministe bénévole, fondé en 2016 par des militantes lors de la création d’une page Facebook au nom homonyme. Le collectif se compose de lanceuses d’alertes qui assurent, depuis janvier 2016, par leur propre méthodologie, la comptabilisation des femmes présumées victimes de crimes conjugaux en France (y compris dans les DOM-TOM) perpétrés par leur compagnon ou ex-compagnon. Le décompte est actualisé régulièrement et mis en évidence sur les réseaux sociaux via leurs pages Facebook, Twitter, Instagram ainsi que leur site web crée en 2022. Les chiffres se basent à partir d’articles de presse sur internet.
Le collectif recense 131 féminicides conjugaux pour l’année 2016 ; 144 pour 2017 ; 126 pour 2018 ; 154 pour 2019 ; 103 pour l’année 2020 ; 113 pour 2021 et 10 victimes sont recensées au 1er janvier 2022.
À partir de 2019, leurs chiffres sont repris par plusieurs personnalités et entités tels que Caroline De Haas représentante du collectif #NousToutes jusqu’en 2022, l’Agence France-Presse pour son propre décompte de féminicides ou encore lors du Grenelle des violences conjugales organisé par le gouvernement français.
Historique[|]
Contexte[|]
Article détaillé : Violence conjugale en France.
Chaque année en France, une moyenne de 213 000 femmes subissent des violences physiques ou sexuelles de la part de leur conjoint ou ex-conjoint1,2. À la fin des années 2010, un regain médiatique est porté contre les violences conjugales. La coprésidente du planning familial estime en outre que les associations ne sont pas encore écoutées par le gouvernement pour atténuer ce phénomène, et juge que la mise en œuvre d’actions politiques en France est tardive en indiquant que des mesures nécessaires pour lutter contre les violences conjugales étaient déjà listées par les associations féministes depuis dix à vingt ans3. Le gouvernement français n’avance d’ailleurs pas de chiffres précis jusqu’en 2012 — il n’existe pas d’organisme étatique ou de statistiques officiels pour comptabiliser les chiffres officiels de féminicides conjugaux — et se contente du terme vague « d’une femme tuée tous les deux ou trois jours »4,5. En parallèle, la couverture médiatique de ces meurtres classe généralement les affaires dans la catégorie « fait-divers »6.
Création du collectif[|]
Collage à Besançon, rendant hommage à Razzia, femme assassinée le 30 octobre 2018 par son ex-conjoint.
En 2012, plusieurs membres féministes échangent dans un groupe Facebook fermé autour du projet de loi de pénalisation des clients de la prostitution5,7. En janvier 2016, l’une des bénévoles recense de son côté sur son propre blog les féminicides6. Cependant, en juillet 2016, elle décide d’arrêter car « c’était trop dur »7. La décision est alors prise par le reste du groupe de poursuivre ce comptage, via une nouvelle page Facebook : la page « Féminicides par compagnons ou ex » est créée5. L’objectif du collectif FPCE est de soutenir les familles de victimes et leur permettre de faire reconnaître cette mort comme un féminicide ainsi que de rendre visible le nombre de femmes tuées, de les « désanonymiser » afin que « le public puisse savoir ce qu’il se passe en temps réel »4,8.
Au début, deux membres administrent la page5. Rapidement, elles sont trois, puis quatre. Le collectif se compose d’une retraitée, d’une personne du chômage, d’une travailleuse à temps plein et d’une travailleuse à temps partiel dans le social. Néanmoins, par crainte de représailles, les membres ne souhaitent pas rendre leur identité publique, comme l’explique l’une d’entre elles, dans un entretien accordé à l’Agence France-Presse : « on souhaite rester anonymes pour qu’on ne nous harcèle pas pour nous pousser à arrêter, comme c’est arrivé à des militantes féministes qui dérangeaient »4. Par ailleurs, les articles de presse qui les citent, leur prêtent parfois des prénoms d’usage (comme Sandra) au cours de leurs interviews7,8. Enfin, trois des membres confient avoir elles-mêmes subi des violences de la part leur ex-conjoint9.
Les membres effectuent une revue de presse quotidienne afin de réaliser le décompte au jour le jour des femmes tuées par leur conjoint ou ex-conjoint4. L’une des membres avance que la tâche pouvait prendre jusqu’à « huit heures par jour »7. Selon Fatima Benomar, féministe marocaine et membre du collectif #NousToutes, leur recensement consiste à utiliser des mots clés (tels que auteur, crime, égorgement, femme morte, femme disparue, drame conjugal, etc.) depuis Google5,7. Les membres privilégient les médias locaux4. Pour chaque victime recensée, un court texte est publié sur la page Facebook du collectif (et plus tard, sur leur page Twitter et Instagram), qui résume les faits et donne des éléments du profil de la victime7. Le décompte se baserait sur le modèle de ceux déjà réalisés dans certains pays d’Amérique du Sud ou aux États-Unis (pour ce dernier, par exemple, grâce au recensement du Journal of the American Medical Association, et plus globalement celui du National Violent Death Reporting System (en))4,10,11,[à vérifier]. De plus, à l’aide de Google Maps, les militantes référencent et géolocalisent les féminicides, année par année, en y incluant d’autres données tels que le contexte, le suicide de l’auteur, les tiers victimes, le nombre d’orphelins à l’issue de ces crimes, etc. Des statistiques sur les autres crimes intrafamiliaux sont également disponibles12,13.
Un décompte mis en avant dans la lutte contre les violences conjugales[|]
Collage, dans le 5e arrondissement de Paris, en 2020, dénonçant les féminicides.
En mars 2019, le collectif est contacté par Caroline De Haas, figure féministe en France, qui propose de relayer le décompte via son collectif #NousToutes. Après quelques semaines, la visibilité publique de la page FPCE s’accrue : « on a doublé le nombre de nos abonnés, de 10.000 à 20.000 » ; et les médias commencent à s’intéresser au collectif4. Pour le collectif #NousToutes, l’objectif du compteur est de sensibiliser, en rendant plus concrète la statistique selon laquelle une femme est tuée tous les deux jours dans le pays7. Le collectif de Caroline de Haas qui compte alors plus de 16 000 abonnés sur Twitter (soit près de cinq fois plus que son partenaire à ce moment), poste désormais également un message à chaque nouveau féminicide recensé : « on rajoute une dimension politique en taguant aussi Emmanuel Macron, car les violences conjugales sont la grande cause nationale du gouvernement », argue la responsable7. A chaque publication, les militantes reçoivent de nombreux messages de proches des victimes, mais aussi parfois des auteurs du crime7. Cette notoriété soudaine a en partie modifié le travail des bénévoles du collectif. Désormais, les familles les contactent parfois directement, et ce sont les médias et la justice qui ensuite se penchent sur une nouvelle histoire : « on n’a plus à faire quotidiennement une aussi large revue de presse »7.
En mars 2019, le collectif FPCE connaît un nouveau regain d’intérêt. Le collectif FPCE est relayé par la presse féminine13,14 mais également la presse nationale15,16,17 et internationale18,19,20,21,22,23. De plus, quelques documentaires24 et reportages25 ont également fait écho au recensement du collectif26. Enfin, le décompte et l’analyse du collectif ont servi de références pour le livre Silence, on cogne de la journaliste indépendante Sophie Boutboul, co-écrit avec Alizé Bernard, qui dénonce les violences conjugales perpétrées par des gendarmes et des policiers[à vérifier]. Les médias reprennent alors massivement le terme « féminicide », qui ne possède alors pas d’existence juridique en France9. Le collectif se renforce également de plusieurs bénévoles (majoritairement des femmes), qui les aident dans leur démarche de recherches et dont leur nombre fluctue au fil des recherches6,9. Néanmoins, de quatre administratrices, elles passent à trois. Le collectif affirme recevoir des menaces sur les réseaux sociaux de la part des familles des agresseurs et parfois des familles des victimes qui ne souhaitent pas être exposées6,9.
À l’occasion de la journée internationale des femmes, Fatima Benomar rapporte : « on s’est dit que ce serait important de donner de la résonance au travail qu’elles faisaient, car leur compteur est vraiment devenu une référence. On entend souvent parler du chiffre d’une femme tuée tous les deux jours et demi, mais c’était abstrait. Ce travail de nommer les victimes permet de les humaniser et de sensibiliser le grand public ».
En juin 2019, le collectif lance un appel dans le journal Le Parisien, intitulé « Protégez-les »27.
En juillet 2019, à l’initiative du collectif, 35 familles de victimes de féminicides conjugaux rédigent une tribune à l’attention du gouvernement pour proposer des mesures destinées à lutter efficacement contre les violences conjugales et les féminicides28.
Le Grenelle des violences conjugales ouvre le 3 septembre 2019 jusqu’à novembre en se basant sur les chiffres du FPCE29. En amont du Grenelle, les bénévoles ont été contactées par l’entourage de Marlène Schiappa, alors secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes. Durant ce laps de temps, le terme féminicide est encore propulsé au travers de la couverture médiatique. Pour France Inter, « les féminicides sont partiellement sortis de la rubrique des faits divers pour être regardés comme un problème de société »8.
En octobre 2019, sur la base du recensement effectué par le collectif FPCE le député Aurélien Pradié a nommé chacune des 117 victimes de féminicides comptabilisées à cette date30.
Une association, l’Union Nationale des Familles de Féminicide (UNFF) est créée le 21 octobre 2019 à la suite d’échanges entre plusieurs familles et proches de victimes sur la page Facebook du collectif31.
En février 2020 : le travail de recensement du Collectif Féminicides par compagnons ou ex est utilisé comme référence dans le rapport d’informations sur la reconnaissance du terme « féminicide », porté par la députée Fiona Lazaar et déposé à l’Assemblée nationale32.
En janvier 2021, le mouvement des Colleuses (ou le Collectif Collages féministe) effectue notamment le collage en lettre noires de 111 prénoms de victimes (98 femmes, 11 travailleuses du sexe et 2 individus transgenres) dans une rue du 11e arrondissement de Paris en s’appuyant sur les données du collectif FCPE33.
Différend avec le collectif #NousToutes[|]
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À partir de mars 2019, le collectif #NousToutes, qui lutte contre les violences sexistes et sexuelles à l’encontre de femmes en raison de leur genre, relaye le décompte du collectif FPCE.
Toutefois, en janvier 2022, #NousToutes, décide de ne plus reprendre ce décompte, estimant qu’il ne représente pas la totalité des homicides de femmes34,35. En effet, alors que le collectif FCPE se concentre sur l’identification de féminicides uniquement dans le cadre conjugal, #NousToutes souhaite la mise en place d’un décompte plus inclusif et plus large des féminicides36. Ce collectif rapporte dans un communiqué : « il est essentiel de “visibiliser” toutes les femmes qui sont assassinées parce qu’elles sont des femmes. Nous sommes donc en réflexion sur la meilleure façon de le faire, en incluant les féminicides hors du couple, qu’ils concernent des femmes cisgenre ou transgenre »37.
Par la même occasion, #NousToutes accuse le collectif FCPE de transphobie38. Le collectif se défend dans une tribune de presse publiée sur Marianne39.
Autres décomptes[|]
Le collectif FPCE n’est pas la seule entité à réaliser un recensement des féminicides conjugaux. Du côté des médias, en 2017, Libération est le premier à créer son propre décompte8. Plus tard, l’Agence France-Presse (AFP) effectue des enquêtes sur les cas de féminicides conjugaux en s’appuyant au départ sur le travail du collectif FPCE. Puis, l’AFP détermine son propre décompte, lequel est contesté par le collectif4. En effet, les chiffres de l’AFP sont régulièrement plus bas que ceux du collectif FPCE, les journalistes utilisant leurs standards de vérification40. Ainsi, en 2019, l’AFP comptabilise au moins 126 féminicides conjugaux (154 selon le collectif FPCE), tandis qu’une douzaine de cas restent « en attente » puisque les enquêtes policières sont en cours[réf. souhaitée]. Le Monde a effectué une enquête sur les affaires de 201941.
À partir de 201242, Le Ministère de l’Intérieur français fournit lui aussi des chiffres sur les Morts violentes au sein du couple, mais ils sont publiés plus tard au cours de l’année suivante8.
Prises de position[|]
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Selon le FPCE, ces hommes tuent leur compagne ou ex compagne car « ils ont reçu une éducation machiste, misogyne, et de haine des femmes que la société renvoie systématiquement à un statut d’objet – sexuel, domestique, publicitaire… Donc ils pensent que c’est normal de s’approprier les femmes, d’autant que la justice ne les condamne pas suffisamment »4. Le collectif incite à prendre « des mesures vraiment dissuasives contre la violence masculine, en suivant les hommes signalés, en soignant les hommes violents ».
En juin 2019, via une tribune, le collectif liste ses solutions : prise et traitement systématique des plaintes, octroi de l’aide juridictionnelle dès la plainte, hébergement d’urgence, ordonnance de protection, bracelets électroniques, etc.8. D’autres éléments sont évoqués comme la création de fiches comme une fiche S ou la sensibilisation sur le sujet dès le plus jeune âge en donnant des cours en primaire ou au collège sur les violences faites aux femmes9.
En ce qui concerne le Grenelle des violences conjugales, tenu en 2019, l’une des membres du collectif estime que « les conclusions et les décisions prises par le gouvernement ne vont pas améliorer la situation concrète de plus de 200 000 femmes victimes, même si le Grenelle a été un bon moyen de communiquer et de débattre des violences faites aux femmes ». L’une des membres ajoute : « on ne veut pas toucher à ce que l’on estime être la liberté des hommes. On est encore dans le petit chaperon rouge. On préfère laisser le loup en liberté et laisser les femmes devenir des victimes. On n’est pas dans l’idée de s’en prendre vraiment à l’agresseur »8. Par la même occasion, la « Grande cause nationale » du quinquennat du président Emmanuel Macron (c’est-à-dire l’égalité des sexes) est perçu comme une « Grande cause toujours »43.
Le collectif FPCE est par ailleurs parfois critique envers la presse qui « ne donne pas toujours le nom des victimes, encore moins le nom du tueur »8. De plus, les membres sont en désaccord avec le décompte de Libération, qui, selon elles, ne prend pas « en compte les femmes âgées ou malades »[réf. souhaitée].
Liens externes[|]
Site internet du collectif Féminicides par compagnons ou ex []
Page Facebook du collectif Féminicides par compagnons ou ex []
Compte Twitter du collectif Féminicides par compagnons ou ex []
Page Instagram du collectif Féminicides par compagnons ou ex []
Notes et références[|]
↑ « Grenelle des violences conjugales : ce qu’il faut retenir des annonces du gouvernement » [], sur L’Express, 25 novembre 2019 (consulté le 12 novembre 2020).
↑ « Grenelle des violences conjugales, les mesures du gouvernement » [], sur La Croix, 25 novembre 2019 (consulté le 12 novembre 2020)
↑ Solène Cordier et Faustine Vincent, « Au Grenelle des violences conjugales, des attentes à la hauteur de l’espoir suscité » [], sur Le Monde, 19 novembre 2019 (consulté le 12 novembre 2020).

a b c d e f g h et i Marie Dhumieres, « On est des lanceuses d’alerte: le collectif Féminicides par compagnons ou ex derrière le décompte » [], sur Agence France-Presse, 22 novembre 2019 (consulté le 12 novembre 2020).

a b c d et e Julie Bienvenu et Yann Bouchez, « Comment compter les féminicides ? Policiers, militants et journalistes appliquent leurs propres règles » [], sur Le Monde, 16 janvier 2020 (consulté le 12 novembre 2020).

a b c et d Isabelle Mourgere, Terriennes, « Féminicides par compagnons ou ex : une page Facebook pour recenser les meurtres de femmes » [], sur TV5 Monde, 17 juillet 2019 (consulté le 12 novembre 2020).

a b c d e f g h i et j Nicolas Berrod, « Grenelle des violences conjugales : comment travaille le collectif qui compte les féminicides » [], sur Le Parisien, 3 septembre 2019 (consulté le 12 novembre 2020).

a b c d e f g et h Ouafia Kheniche, « 2019 : l’année où le féminicide s’est imposé dans la société française » [], sur France Inter, 31 décembre 2019 (consulté le 12 novembre 2020).

a b c d et e Jeanne Sénéchal, « Sur Facebook des bénévoles comptabilisent les victimes de féminicides en France » [], sur Le Figaro, 6 février 2019 (consulté le 12 novembre 2020).
↑ Maïté Warland, « 90% des victimes de meurtres de jeunes aux USA sont des filles: les féminicides explosent aussi chez les ados » [], sur RTBF, 23 avril 2019 (consulté le 12 novembre 2020).
↑ (en-US) Kashmira Gander, « 90 Percent of Teens Killed by Their Partners Are Girls—and Most of the Killers Are Men » [], sur Newsweek, 15 avril 2019 (consulté le 12 novembre 2020).
↑ Collectif Féminicides par compagnons ou ex, « 2019 – Féminicides par (ex) compagnon » [] (carte interactive), sur Google My Maps (consulté le 12 novembre 2020).

a et b Lucile Bonnin, « Violences conjugales en France: une femme meurt tous les deux jours » [], sur Journal des Femmes, 15 avril 2019 (consulté le 12 novembre 2020).
↑ Marie-Laure Zonszain, « Féminicides: Le délicat décompte des victimes » [], sur Femme Actuelle, 11 octobre 2019 (consulté le 12 novembre 2020).
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↑ Anaïs Lecoq, « Féminicides: 10 femmes tuées par leur compagnon ou ex en décembre 2019 » [], sur L’Union, 1er janvier 2020 (consulté le 12 novembre 2020).
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↑ Morgane Giuliani, « Féminicides, documentaire éclairant sur Laetitia, Sylvia, Hélène, Marie-Alice et Ana, tuées par leur conjoint ou ex » [], sur Marie Claire, 2 juin 2020 (consulté le 12 novembre 2020).
↑ Guillemette Jeannot, « Vidéo : c’est quoi un féminicide conjugal ? » [], sur Francetvinfo.fr, 25 novembre 2019 (consulté le 12 novembre 2020).
↑ « Féminicides par compagnons ou ex : l’association chiffre les femmes victimes de violences conjugales » [], sur France TV, 11 mars 2019 (consulté le 12 novembre 2020).
↑ Collectif des proches et familles de victimes de féminicides, « «Protégez-les !» : l’appel d’un collectif de proches de victimes de féminicides » [], sur Le Parisien, 29 juin 2019 (consulté le 12 novembre 2020).
↑ « TRIBUNE. Ces meurtres auraient pu être évités : les familles et proches de 35 victimes de féminicide proposent des mesures contre les violences conjugales » [], sur France TV info, 19 juillet 2019 (consulté le 12 novembre 2020).
↑ « Comment le collectif féminicides par compagnons ou ex tient le décompte des féminicides en France pour interpeller la société » [], sur France Info, 3 septembre 2019 (consulté le 12 novembre 2020).
↑ Olivia Chandioux, « Le décompte glaçant du député Aurélien Pradié à l’Assemblée Nationale » [], sur France Bleu, 11 octobre 2019 (consulté le 12 novembre 2020).
↑ « Les familles de victimes de féminicides créent leur association » [], sur L’Obs, 21 octobre 2019 (consulté le 12 novembre 2020).
↑ Fiona Laazar, « Rapport d’information sur la reconnaissance du feminicide déposé à l’Assemblée Nationale » [], sur Assemblée nationale, 18 février 2020 (consulté le 12 novembre 2020).
↑ « Féminicides : le mémorial des colleuses pour honorer les mortes et protéger les vivantes » [], sur France 24, 11 janvier 2021 (consulté le 18 janvier 2021)
↑ Solène Cordier, « Le collectif Nous toutes se désolidarise du compte Féminicides par compagnons ou ex » [] , sur lemonde.fr, 6 janvier 2022 (consulté le 13 février 2022)
↑ Fatoumata Sillah, « Décompte des féminicides : comment nos voisins européens font-ils ? » [], sur lemonde.fr, 17 janvier 2022 (consulté le 13 février 2022)
↑ Anna Bonnemasou-Carrère, « Pourquoi le collectif Nous Toutes ne relaie plus le décompte des féminicides » [], sur franceinter.fr, 7 janvier 2022 (consulté le 13 février 2022)
↑ #NousToutes, « #NousToutes a décidé de suspendre le relai du décompte des féminicides conjugaux. Nous vous expliquons pourquoi. » [], sur twitter.com, 5 janvier 2022 (consulté le 13 février 2022)
↑ Virginie Ballet, « Recensement des féminicides: faut-il changer de méthode? » [] , sur liberation.fr, 2 février 2022 (consulté le 13 février 2022)
↑ Collectif Féminicides par compagnons ou ex, « Des transactivistes violents tentent de s’imposer par la terreur dans les organisations féministes » [], sur marianne.net, 9 janvier 2022 (consulté le 13 février 2022)
↑ « Féminicides : Le nombre de femmes tuées par leur conjoint ou leur ex compagnon en baisse significative en 2020 » [], sur 20 Minutes, 29 janvier 2021 (consulté le 5 mai 2021)
↑ « Enquête féminicides – Actualités, vidéos et infos en direct » [], sur Le Monde.fr (consulté le 12 février 2022)
↑ « Etude nationale sur les morts violentes au sein du couple – 2012 » [], sur Vie publique.fr (consulté le 12 février 2022)
↑ Romane Brisard, « Féminicides: la lutte s’organise sur les réseaux sociaux » [], sur We Demain, 5 septembre 2019 (consulté le 12 novembre 2020).
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