Description

quand je ne serai plus là lâchez-moi laissez-moi partir ?

## Laisser partir, accepter le voyage : Une prière amérindienne réconfortante

La mort est un sujet universel qui suscite à la fois peur et fascination. Nous l’évaporons, la contournons, cherchons à la comprendre, mais son mystère nous hante. Pourtant, certaines cultures abordent la fin de vie avec une sagesse profonde et une acceptance apaisante.

Aujourd’hui, jons-nous à la sagesse des Amérindiens et explorons la magnéficient prière qui témoigne de leur vision unique de la mort :

** »Quand je ne serai plus là, lâchez-moi ! Laissez-moi partir. »**

Ces mots, simples mais puissants, nous invitent à abandonner la tristesse et le besoin de retenir ce qui est déjà en mouvement. Imaginez le voyage de l’âme comme un puissant fleuve qui se dirige vers la mer, vers un horizon où la matière et le temps ne comptent plus.

** »Car j’ai tellement de choses à faire et à voir ! »**

La vie ne se limite pas à ce que nous percevons avec nos sens. L’âme aspire à se libérer des frontières physiques pour explorer des réalités invisibles. Cette prière nous rappelle que la mort n’est pas une fin mais un passage vers un autre mode d’existence.

** »Ne pleurez pas en pensant à moi ! Soyez reconnaissants pour les belles années pendant lesquelles je vous ai donné mon Amour ! »**

Laissons tomber les larmes de regret et adoptons la gratitude. Cherchons le vrai sens du cadeau de la vie, qui réside dans les moments partagés, dans l’amour transmis et reçu.

** »Vous ne pouvez que deviner le bonheur que vous m’avez apporté ! »**

Cette affirmation touchante nous révèle un amour éternel qui transcende la vie et la mort.

La prière évoque le bonheur que nous avons pu engendrer dans la vie des autres, un bonheur qui restera gravé dans leurs cœurs même si nous ne sommes plus physiquement présents.

**Finalement, la prière nous invite à lâcher prise, à accepter la transformation naturelle de la vie et à vivre pleinement chaque instant. Car, comme le chantent les plumes des oiseaux qui volent vers l’horizon, nous sommes tous en mouvement, partie prenante d’un voyage cosmique infiniment grand.**